Bien que fatigué de mon vendredi, je me suis levé tôt pour me rendre à mon cours de boxe thaï. Laissant mon Wei Ying endormit dans mon lit, mais pas sans lui avoir fait un baisser pour lui dire aurevoir. Je dois bien avouer que l'alcool qui coulait dans mon corps la vieille a laissé des traces, un énorme mal de tête qui ne veut pas me quitter. Lorsque je reviens pour 11h, mon amour est bien réveillé mais depuis peu, car il ne porte qu'un bas de pyjama qui m'appartient, et taquine son frère dans un rire enthousiaste.
- Lan Zhan ! Tu es de retour...tu m'as manqué ce matin, assure-t-il en passant ses bras autour de mon cou.
- N'exagère pas Wei WuXian, tu es levé depuis à peine une demi-heure, vocifère Wanyin.
Mon Wei lui tire la langue, puis vient me murmurer à l'oreille.
- Et si on allait se doucher ensemble ?
J'en ai le souffle couper, la chaleur de son souffle qui glisse sur ma peau, la promesse coquine derrière cette demande et la douce peau du visage de mon amour contre le mien me fait perdre le reste de lucidité.
- Mn.Sous les yeux choqués de WanYin et ZiXuan, mon amour me tire vers la salle de bain. Lorsqu'il ferme la porte, je ne peux me retenir de l'y plaquer pour l'embrasser passionnément. Avec fougue et urgence, je fais glisser mes mains sur les courbes magnifiques de son corps. J'aime sa peau si douce, si blanche, si sucré... je commence un perlerinage de baisers sur son cou, puis la courbe de son épaule. Wei Ying me pousse un peu pour me redresser, il me regarde avec ce regard remplit de désir, puis commence à me déshabiller en retirant mon T-shirt. Nous avançons vers la cabine de douche tout en nous touchant, nous embrassant, nous mordillant, et nous déshabillant. Je cherche à tâton le robinet tout en nous faisant passer sous le ciel de douche. Wei Ying jappe lorsque l'eau froide se déverse sur son corps. L'eau se réchauffe vite, mon Wei aussi. Je reprend mon chemin de croix sur son corps, embrassant ses tétons qui s'érigent bien vite au contact de ma langue, j'entend la respiration de mon amour s'accélèrer. Je m'en hardi et attrappe son sexe dans ma main, je commence alors de long mouvement de va et viens qui le font gémir. Je prend possession à nouveau de sa belle bouche, frottant ma langue contre la sienne, elle a un gout délicieux. Je glisse ma main droite sur son beau fessier, passant mon doigt sur son intimité. Mon Wei gémit contre mes lévres, alors je pénétre lentement dans ses chaires chaudes et délicieuses. Je n'ai pas de lubrifiant alors je vais doucement pour ne pas le blesser, mais l'eau qui ruisselle sur son corps aide bien, alors j'insère un deuxième doigt. Je commence de lents mouvements pour dilater ses tissus délicats. Quand je sens qu'il est prêt, je relève ses jambes et le plaque contre le mur.
- Accroche-toi à ma taille avec tes jambes, j'affirme dans un chuchuotis.Mon Amour s'exécute, alors que je le pénétre de toute ma longueur dans un râle de plaisir. Cette sensation incroyable de ne faire qu'un avec mon amour me submerge, je commence à me mouvoir en lui. Les sons qui sortent de sa bouche m'élance jusqu'au bout de la verge, je le pilonne plus fort, plus vite et plus loin. Je le dévore et joui de son corps pour satisfaire notre plaisir, par ses grognements mon Wei me montre qu'il aime ça aussi. Je le tiens par les fesses pour facilité la pénétration et aller au plus profond de son intimité. Je malméne sa prostate avec figueur, mon amour ne retient plus ses gémissements... Je sais pertinemment qu'on l'entend dans tout le dortoire, mais je m'en moque, j'aime tellement l'entendre prononcer mon nom quand nous nous aimons. L'intimité de mon Wei se contracte, je sais qu'il est proche de venir, moi aussi.
- Accroches-toi bien, je te lâche.
Je sens les bras et les jambes de mon amour se resserrer autour de mon corps, je libére sa fesse gauche, pour attraper sa virilité de ma main droite.
- Han...Lan Zhan.... je...
- Je sais. Je souffle contre sa peau de son cou.
Alors que je continu mes mouvements de va et viens sur son penis en accord parfait avec mes coups de butoires figoureux, mon Wei se lâche dans ma mains et sur mon abdomen. Alors que le sien est secoué de spasme de plaisir, je continu de claquer mon corps contre le sien, le voir ainsi est libèrateur, je le remplis de ma semance.Je pose mon front sur le sien, je reprend mon souffle, mon Wei Ying est toujours cramponné à mon corps et semble avoir beaucoup de mal à se reprendre. Je repose ses jambes sur le sol, celle-ci sont tremblantes, ce qui me fait sourire.
- Lan Zhan ! La douche est bien meilleure quand tu es avec moi, affirme-t-il essoufflé.
- Mn. Laisse-moi te laver.
Je n'attend pas sa réponse et passe mes mains savonneuses sur son corps, je prend le temps de laver ses cheveux. Il ne se prive pas pour en faire de même. Quand nous sortons de la salle de bain, je vois bien que Jiang WanYin et Jin ZiXuan sont mal à l'aise. Je ne peux m'empêcher de me dire que c'est moi qui ai donner autant de plaisir à Wei Ying, et je viens de leur en donner la preuve... Cela me fait sourire intérieurement. L'après-midi est plutôt calme, même si mon amour met WanYin et ZiXuan en rage en les battant à la console.
- Tu ne veux pas essayer Lan Zhan ?
- Non, je préfère lire.
Wei Ying hausse des épaules, mais son sourire est immense. Je le laisse à son jeu, qui semble l'amuser, enfin c'est surtout de battre son frère qui l'amuse. Vers 18h30, je décide de préparer le repas, Wei Ying veut venir cuisiner avec moi. Et même si je suis sincèrement ravi qu'il me suivent, je ne lui confis que des tâches assez simples, car il n'est vraiment pas doué. Et je sais qu'il ne doit surtout pas toucher à l'armoire à épices. Nous mangeons en compagnie de WanYin et ZiXuan, je ne parle pas mais Wei Ying fait la conversation pour nous deux. Je suis félicité par mon amour pour ce repas qu'il a trouvé apparament à son gout au vu du nombre de fois qu'il s'est reservi, ce qui me plaît.Il est Hai et je m'apprête à aller dormir, mon Wei est assi sur mon lit vêtu de mon bas de pyjama... il est beau je ne peux que le regarder. Il pianote négligemment sur son téléphone, je m'approche doucement de lui et embrasse sa nuque. Je le sens frisonner, je continu mon parcours sur la courbe de son épaule, délicatement je descend effleurant la peau délicate de son dos. Mes mains glissent doucement sur ses hanches puis son ventre ou se dessine quelques muscles abdominales. Ma bouche ne peut s'arrêter d'embrasser, de mordillier, de lécher la peau de son cou, de ses épaules... je ne suis jamais rassasié.
- Lan Zhan, nous le faisons tous les jours mais tu ne sembles pas satisfait, dit-il dans un murmure de désir.
- Parce que c'est toi.
Je sais qu'il sourit, même si je ne le vois pas. Je cherche les excroissances de chairs rosées de ses pectoraux, je les pince doucement, les tire et les fais se dresser de cette façon que j'aime tant. Même si mon amour est fatigué, il répond à mes caresses, à peine l'ai-je effleuré. Je poursuis donc mon parcours descendant le long de son torse pour trouver sa virilité déjà bien dressé.
- Je te croyais fatigué, mais je vois que tu es bien en forme. J'assure.
- Parce que c'est toi, souffle-t-il entre deux gemissements.
J'attrape son visage, le tourne vers le mien et prend possession de cette bouche si tentatrice... Je le fait se redresser sur ses genoux, planquant son dos contre mon torse. Alors que mes mains font de lents mouvements de va et vient sur sa hampe déjà bien dure, j'insère mes doigts huileux dans son intimité. Je sens ses chairs délicieuses se resserrer à cette intrusion, mais elles se détendent rapidement quand je commence à les caresser délicatement. Mon Wei gémit contre mes lévres et ce son fibre jusque dans ma virilité. Je ne peux plus me retenir.
- Désolé, je n'en peux plus. Soufflé-je contre sa peau.
Je le pénétre lentement, avec tendresse et vénération... j'aime tellement être en lui, car c'est à ce moment que nous ne faisons qu'un. Wei Ying s'appuie sur le lit, il est à quatre pattes devant moi, la vision de sa croup si bien dessiné et de son dos parfait élance le désire en moi. Je commence mes va et vient, allant de plus en plus loin, de plus figoureusement, ce qui fait grogner mon Wei.
- Han...Lan Zhan...
Il est vrai que je prend tant de plaisir quand nous nous aimons, que je peux résister à l'envie de recommencer ou de continuer... seul mon corps est mon frein.
- Quand j'ai dit que je voulais faire l'amour avec toi tous les jours, peux-tu faire comme si je n'avais rien dit ? Demande mon Wei le souffle court.
Je le retourne pour le voir quand je lui parle, mais pas sans continuer mes coup de butoire dans ses chairs délicieuses.
- Non.
- Mais tu ne m'as jamais rien refusé !
- Non.
Je souris, je sais que c'est vrai. Si Wei Ying me demandait le monde je lui apporterais sur un plateau doré.
- Alors disons une fois tous les deux jours. Il faut que je me repose de tant en temps.
-Tous les jours, signifie tous les jours.
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Le rêve d'une autre vie.
Teen FictionLan WangJi et Wei Wuxian sont des adolescents comme les autres, ils ne se connaissent pas. Depuis plusieurs mois, Lan WangJi fait des rêves étranges du passé ? D'une vie qui n'est pas la sienne, d'un époque qu''il ne connait pas. Malgré cette distan...