Morbidly obsessed

chapitre 43

Le soir, après mon dîner, j'ai appelé ma sœur puis je suis partie au lit.

Ken revient toujours de mauvaise humeur, après son bain, il vient s'allonger prêt de moi puis essaie de me toucher, pas comme les autres fois où il abandonnait et partait s'enfermer dans la salle de bain quand je le repoussais, non cette fois il à insisté, comme pour ma première fois. J'ai compris qu'il allait encore une fois abuser de moi .

Je me met à pleurer avec l'intention de me laisser faire jusqu'au bout.

_ je crois que tu n'a pas encore compris que tu m'appartenait entièrement ma chérie me souffle t'il dans les oreilles

_ Ken je suis un être humain comme toi, pas un objet je ne peux pas t'appartenir, tu n'est pas un Dieu dis je alors que je pleurais

_ oh si, tu est à moi Tessa, j'ai compris que tu refusais encore de l'accepter et ca m'a mit très en colère chérie souffle t'il alors qu'il serrait de plus en plus mes poignées, je me suis demandé toute la journée comment je pourrais m'en prendre à ta sœur pour te le faire payer

J'ecarquille les yeux.

_ Oui, j'ai dû faire preuve d'un self control surhumain pour ne pas aller la buter chez elle sourit il

_ tu laisse ma sœur en dehors de ça dis je rageusement

_ je vois que c'est la seule chose qui peut te faire réagir sourit il de plus bel. Qui sait, si ca se trouve demain on t'informera que la voiture de ta sœur est " accidentellement " entré en collision avec un camion et qu'elle est morte sur le coup .

_ Ken... pleurais je en me rendant compte d'à quel point il était cruelle

Je n'ai pas arrêté de marcher sur des œufs ses derniers temps pour éviter ce genre de situation mais à ce que je vois cela l'amuse au fait.

Il me fait un grand sourire ravie avant de me prendre par le cou et de serrer.

J'ecarquille les yeux de surprise vu que je n'étais même pas entrain de lui résister, je me laissais faire jusque là.
Pas le choix si je veux vivre, je me met à me débattre pour tenter de lui faire lâcher prise.

_ pitié Ken pleurais je

Toujours en m'etranglant, il baisse son pentalon d'une main et me pénètre brutalement après avoir décalé ma culotte . Il commence à faire des va et vient violent alors que je me débattais de toute mes forces déjà pour le faire me lâcher. Il ne m'avait jamais étranglé aussi fort et aussi longtemps, je crois qu'il ne s'en rendait même pas compte.

_ Ken tu v...tu va me tuer 😭😭😭😭😭

Je me suis débattu jusqu'à ce que je n'en puisse plus. J'allais tomber dans les vape quand il me relâche et me retourne pourque je sois sur le dos. Là c'est mes cheveux qui en prennent chère alors que j'étais encore à reprendre mon souffle.

Il ne me relâche que quand il jouit enfin. J'avais tellement crier que je n'avais plus de voix. Mes larmes refusait de sortir. J'étais en sueur , allongée sur le dos, seulement avec mon haut parce qu'il s'était débarrasser de mon short , pleurant.

_ shutttt c'est fini. Ca va aller fit il en me prenant contre lui

Je n'avais pas la force de le repousser. Je me laisse faire dans ses bras alors qu'il avait l'air de me consoler, utopie.

Je n'ai pas pû dormir cette nuit là, j'ai pas arrêté de pleurer. Je croyais que comme à son habitude il m'aurait offert des fleurs le lendemain en se confondant en excuses mais il ne se dérange même pas.

Puis c'est devenu une habitude. C'était comme ça tous les soirs, il abusait de moi à coup de menaces ou simplement en m'etranglant jusqu'au seuil de l'évanouissement. Même quand je lui faisais comprendre que je n'avais pas l'intention de lui résister il me malmenait quand même et puis dans la journée il n'était affectueux, c'était terrifiant, on aurait dit que c'était deux personnes différentes .

Je deprimais, j'avais toujours peur quand il commençait à faire soir, parfois je me cachait dans la salle de bain mais ca l'enervait bien vite, et quelques rares soir, il ne me touchait pas, il me serait contre lui et m'intimait l'ordre de dormir.

Je ne descendais pas de ma chambre parce que j'avais des bleus autour du cou et vu qu'il ne me laissait pas le temps de guérir, ils étaient constamment là.

Un soir après qu'il est passé trois jours à l'extérieur du pays pour son travail, il a encore essayé de me toucher.
Comme toujours mon premier réflexe à été de me protéger de lui mais il a juste rigoler avant de me repousser violemment sur le lit.

Dès que ma tête touche les draps, mes larmes coulent et je reste inerte. Je ne fais plus aucun mouvement, je ferme les yeux m'attendant à me faire encore violenter.

_ pourquoi tu ne te débat pas demande t'il en rigolant

Je ne bouge pas.

_ très bien dit il, enfin tu a compris je crois fini t'il en m'embrassant

Depuis qu'il s'était mit à agir ainsi je ne l'avais plus laisser m'embrasser, et même quand il essayait quand même je lui mordais les lèvres.
Là je ne faisais rien. Il prend ma poitrine dans ses mains et les malaxe. Je ne bronche pas, priant juste qu'il finisse sa salle besogne pour me laisser tranquille.
Il porte sa main à ma culotte et quand il remarque que je ne réagissait toujours pas, il arrête de m'embrasser puis me regarde.

_ tu sais à qui Santos à rendu visite aujourd'hui Tess ? À ta sœur, je l'ai envoyé la voir, tu ne veux pas savoir ce qu'il lui a fait ? Demande t'il en riant

Je garde les yeux fermés et ne pipe mot, me contentant de pleurer

_ tu n'en a rien à faire pas vrai ? De toute façon ce n'est pas grave dit il en me prenant rudement mes mains pour les garder au dessus de ma tête.

_ regarde moi

Je garde mes yeux bien fermés.

_ j'ai dis regarde moi réitère t'il durement

Il me prend par le menton et le ressert entre ses doigts. J'ouvre mes yeux remplis de larmes.

_ pourquoi tu pleures demande t'il durement, je te rappelle que je suis ton mari Tess j'ai le droit de te toucher si j'en ai envie

Pendant des jours je l'ai supplié et il n'a jamais arrêté donc je savais très bien que mes pleurs ou même le fait que je parle ne changera rien.

Je referme les yeux quand il se remet à m'embrasser.

Je reste stoïque, limite je faisais la morte. Après plusieurs minutes, il se lève rageusement en balançant le drap.

_ putain mais c'est quoi ton problème ? Crit il en me regardant

Il resserrait tellement fort le drap que ses phalanges étaient blanche. Je ne comprenais pas sa réaction, je n'avais pourtant rien fais. J'ouvri les yeux pour découvrir ses yeux noirs. Il jura entre ses dents avant d'aller s'enfermer dans la salle de bain en claquant la porte.

Je me redresse étonnée qu'il ne soit pas aller jusqu'au bout .

Je me lève en essuyant mes larmes. J'aurais voulu aller me réfugier au salon ou partout ailleurs mais j'avais peur que cela ne l'énerve alors je suis restée là comme une maso à attendre qu'il revienne me faire du mal.

Il est ressorti après une Demi heure.

_ viens on va aller au lit dit il en enfilant un boxer. Il s'était douché

Sans rien dire, je m'allonge à ses côtés et glisse ma main dans son t-shirt, je connais très bien la chanson. Il soupire.

_ je suis désolé de m'être emporté tout à l'heure dit il simplement

Je ne répond pas et je ferme les yeux en priant qu'il ne me fasse rien.