Qu'est ce que trois face à toute une vie ?

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Jordan : Xavier Schiller s’il y a encore une bêtise qui sort de ta bouche je la lave au savon !

Xavier : Mais ce n’est pas une bêtise, tu es réellement magnifique.

Jordan : Non mais sérieusement tu m’as vu ? J'ai 17 ans et le corps d’un gamin de 14 ans. Quand j’avais 14 ans j’en paraissais 12.

Xavier : Et quiconque te parle verrais que tu es plus mature que la plupart de notre âge. Et tu sais quoi ? Ta sensibilité, ta générosité, ta douceur, ça te rend encore plus magnifique à mes yeux.

Jordan rougit et plaque ses mains sur la bouche de son copain et fait mine de chercher du regard :

Jordan : Bon alors où est il ce savooooon.

Le rouge lèche la paume du Jordan sur sa bouche pour qu’il la retire et cela marche bien puisque le vert l’enlève rougissant. Xavier l’attire contre lui :

Xavier ; Je préfère tes lèvres à un savon.

Il prend le menton de Jordan entre ses doigts en l’embrasse tendrement, le vert sent son cœur fondre. Décidément son copain sait le faire tourner en bourrique. Soudain un bruit dehors les fait sursauter et Jordan s’alerte ;

Jorda, : Qu’est ce qui se passe ?

Xavier : Attend je vais regarder.

Xavjer se lève prudemment et ouvre la fenêtre. Une lettre corail et une boîte est posé sur le rebords. Alerté il se penche pour regarder sans le jardin mais pas l’ombree la jeune fille mais celle d’un garçon, en tout cas d’apres la carrure. Capuche sur la tête partant en courant, il est impossible de distinguer quoi que ce soit. Troublé il entre la boîte avec la lettre. Jordan comprend à la couleur de la lettre et regard Xavier inquiet. Celui-ci se sent incapable de mes ouvrir. On toque alors à leur porte et le vert sursaute puis murmure :

Jordan : ,Qu’est ce qu’on fait on dit qu’on est occupé ?

Xavier ; Je sais pas on-

Bryce : Jordan, Xavier vous êtes là ?

La porte s’entrouvre sur l’argenté qui voit d’abord Jordan, il ouvre donc la porte, Claude derrière lui mais en apercevant Xavier et se qu’il a dans les mains , l’argenté laisse tomber son Tupperwares de biscuits.

Non pas elle, pas encore.

Il savait , il savait que la jeune fille ne s’était pas arrêtée pour rien. Il savait qu’elle préparait quelque chose. Mais qu’elle semble s’en prendre à ses frère, l’angoisse tellement d’un coup qu’il sent un énorme coup de chaud s’abattre sur lui et son cœur s’accélérer. Claude le fait entrer et referme la porte derrière eux avant que les résidents naviguant dans les couloirs puissent s’inquiéter. L’arhenté murmure horrifié :

Bryce : Depuis combien de temps ?

Xavier : Ce n’est que la deuxième fois.

Bryce : vous nous avez rien dis.

Jordan : On ne voulais pas vous inquiéter, ce qu’avait reçut Xavier était vraiment…

Bryce regarde Xavier :

Bryce : Quand est ce que tu cessera de nous epargner comme des enfants hein ? Quand est ce que tu comprendra que t’a le droit de te confier  à nous plutôt que d’attendre de craquer hein ?

Sa voix tremble de colère.

Claude : Renardeau.

Il pose un main sur l’epaule de son copain. Xavier ne sait pas quoi dire :