Qu'est ce que trois face à toute une vie ?

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Le rouge finit par revenir dans la chambre et entre. Il trouve l’argenté à leur bureau tête dans les mains en soupirant devant une lettre couleur corail.

Claude : Encore une de ses lettres ?

L’argenté hoche la tête silencieux . Le rouge voit qu’il est anxieux et s’approche .

Claude : Tu devrais pas lire ça .

Bryce : Je sais mais j’ai toujours peur qu’elle s’en prennent à l’un de vous donc si elle lâche une info.

Le rouge ne comprend pas trop, cette fille pourrait aller jusque là par amour pour l’argenté ? Il prend la lettre et la met dans la corbeille.

Claude : oui mais tu te fait du mal.

L’argenté le sait, mais ils n’ont toujours pas trouvé de solution , alors elle pourrait s’en prendre au vert pour « punir »  Xavier. Il a peur qu’à tout moment on lui apprenne qu’il se soit effondré à nouveau, qu’il ai finit à l’hôpital ou autre.  Le rouge lui ébouriffe les cheveux :

Claude : Ni pense plus pour ce soir va.

L’argenté le regarde surpris de ce geste, il le faisait souvent avant son absence. Il faisant semblant de râler à l’époque mais aimait ça.

Claude : Désolé pour tout à l’heure, je voulais un peu de calme après les cours.

L’argenté lui sourit :

Bryce : Ne t’inquiètes pas je l’avais compris, ça va mieux ?

Claude : Oui enfin…

Le rouge hésite, il peux demander ça ? Ils sont en couple mais ça le gène. L’argenté penche la tête et le regarde intrigué. Le rouge tergiverse, il sait que c’est débile mais trouve ça débile. Il finit par faire ce qu’il a toujours fais :.

Mieux vos demander pardon que permission.

Il prend le poignet de l’argenté et le tire vers lui pour l’étreindre et et cache sa tête dans le cou de Bryce qui sourit et l’étreint également. Le rouge se sent bien, combien de fois il avait imaginé la chaleur et la douceur de son cou ? Ça lui fait du bien, c’est comle ci le monde s’arrêtait de tourner, c’est comme ci tout ce qui lui suffisait c’était les moments avec l’argenté. Paradoxalement c’est comme ci les moments ensembles n’étaient jamais suffisant, il voulait que ça dure toujours plus, pouvoir l’étreindre toujours plus, sentir ses bras autour de lui toujours plus. Bryce sourit, il sent le rouge caresser doucement son dos. Ses gestes sont si tendres, le rouge semble avoir vraiment besoin d’être avec lui aujourd’hui.

Bryce : Attend viens.

Il prend sa main et l’amène dans son lit, il s’allonge et le tire contre lui, le forçant à se retrouver allonger sur lui.

Bryce : C’est mieux comme ça.

Le rouge hoche la tête et resté contre lui. Depuis quand c’est lui qui se retrouve sans les bras de l’argenté. Avant c’était toujours l’inverses, même si ils étaient meilleur amis, il prenait toujours l’argenté contre lui pour le consoler des orages en plein jours ou de ses peines. Il pourrait s’en offusquer mais il s’y sent vraiment bien et met son égo plus facilement de coté qu’il pensait. Oui c’est vraiment agréable. Il s’en veux de l’avoir rejeter ainsi tout a l’heure mais il n'a jamais aimé qu’il le voit vulnérables et ca ne changera pas aujourd’hui.