Qu'est ce que trois face à toute une vie ?

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L’argenté se réveille dans la nuit en sentant des tremblements et remarqué son copain dont il tenait le poignet, endormi contre lui au-dessus de la couette.

Il doit avoir froid.

Il est déjà tout frêle et frileux, toujours avec son sweat d’intérieur, alors dormir sans couette c’est un coup à ce qu’il tombe malade. L’argenté essai de se redresser mais le rouge bougonne et bouge.
L’argenté murmure :

Bryce : Mon cœur ca serait mieux que tu dorme sous la couette.

Claude : Hum na nhein

L’argenté sourit, et réussi tant bien que mal à s’assoir bien que le rouge bougonne en s’accrochant à lui. Bryce réussis à le rapprocher suffisamment de lui pour décoincer la couverture d’en d’en dessous lui. L’argenté tente de l’allongé à coté de lui mais le rouge n’a pas l’air décidé à se séparer de lui. L’argenté se rallongé donc avec le rouge sur lui et les recouvre correctement. Le rouge murmure :

Claude : Gagné.

L’argenté ricanne :

Bryce : Je croyais que tu dormais.

Claude : Je dormais mais comment ose tu me séparer de toi.

Bryce sourit  et caresse ses cheveux :

Bryce : Je voulais que tu sois plus confortablement installé.

Claude : Hum je suis bien sûr toi.

Il enfouis son visage dans le cou de son copain en soupirant d’aise.

Claude : Je suis plus fatigué.

Bryce : C’est normal tu a dormi du début de soirée jusqu’à 23h.

Claude : Hé hé ton cou et tout chaud.

Bryce : Et toi tu es gelé, évite de dormir au dessus de la couette d’accord ?

Claude : J’aurais bien voulu mais un certain renardeau m’a tiré sur lui.

L’argenté sourit :

Bryce : Je sais pas  qui c’est mais quel irresponsable celui là.

Claude : Non c’était mignon.

À ces dire l’argenté rougit légèrement. Il continue de caresser ses cheveux et demande doucement :

Bryce : Ça a été avec Jordan ?

Claude : Oui il en avait besoin et peut être que moi aussi. Ça fait du bien.

Bryce : Dans ce cas je suis content. J’ai tout le temps peur que… enfin… je suis content que ça aille bien.

Que ça aille bien ?

Est-ce qu’il va bien ? Non, non il ne croit pas, en faite il ne sait jamais. Il ne sait plus. Il sait quand il va mal, il sait quand il n’a pas mal, quand son cœur est plus léger ou non. Mais pas si il va bien. Le rouge s’écarte et s’assoit à la surprise de l’argenté qui s’assoit inquiet.

Bryce : Lion ?

Claude : Je me sens pas bien allongé.

Mensonge.

Bryce : Tu as besoin de quelque chose ?

Le rouge secoue la tête et remonte ses jambes contre son torse, les entoure de ses bras et pose sa tête dans ses genoux.