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L’argenté et Lao avaient été convoqué dans le bureau principal et attendait assis sur les chaises d’attentes. L’argenté n’avait aucune idée de pourquoi ils avaient été convoqué. Bien sûr Lao s’amusait souvent à fumé sur le passage de l’argenté ou d’avoir fumé avant pour qu’il sente l’odeur et cela déclenchait les crises de manque de l’argenté qui devait être prit en charge par ses amis. Mais aucun adulte ne semblait au courant de ses actes, et mise à part le croiser ainsi le roux ne lui parlait pas vraiment. Bien que cette fois ci il en profita :

Lao : Punaise je suis défoncé et on rencontre le dirlo c’est bien ma veine ça.

L’argenté l’ignora n’ayant aucune envie de discuter avec lui. Tout ce qu’il voulait c’était en finir au plus vite.

Lao : Ton petit copain n’est pas là depuis plus d’une semaine à ce qu’il paraît non ?

Bryce : Et alors ?

Lao : Il a enfin décidé de clamser ?

L’argenté sert les poings. Il n’a pas en de créer une dispute juste devant le bureau du directeur.

Bryce: Même si c’était le cas, ça ne te regarde pas.

Lao : Bien sûr que ça me regarde, sérieux je suis déçu tes goûts ont vraiment baissés.

Bryce : Baisser parce que tu t’estime meilleur que lui, tu n’a pas une once de son humanité alors sérieusement t-

Secrétaire : Bryce et Lao ?

L’argenté se lève :

Bryce : On est là madame.

Elle les invita à entrer dans le bureau et tout ce que dit le directeur c’est de demander si l’exposer de l’argenté avait réellement été fait à deux. Il dit que non et qu’il avait travaillé seul, Lao râla mais dit qu’il en avait la flemme de toute façon. Le directeur leur avait demandé si’il y’avait un moyen qu’il s’entende et l’argenté répondit que du moment qu’il n’avait pas à parler à Lao tout allait bien. Que en dehors de l’exposé il ne lui avait pas adressé la parole. Le directeur en fut rassuré, il precisa que leur note serait individuelle et donc celle de Lao ne s’elevera pas à plus de 1 pour la distribution des copies. Ils purent ensuite sortir.

Lao : Petite surprise, c’est de la bonne , évite de la faire jeter cette fois.

L’argenté serra les poings et partit vite retrouver Xavier et Jordan, sachant déjà comment la possession dans son sac par surprise  du roux de ces bêtises allait vite l’obnibulé.

**

Bryce : Je peux m’assoir ?

Le rouge reste contre la tête de lit, l’oreiller contre lui. Il a dessiné encore aujourd’hui, le dessin sur le lit accompagné d’un support et d’un stylo fin noir. Le rouge le fixe et l’argenté s’assoit donc doucement.

Bryce ; Je peux regarder t-

Le rouge prend brutalement son dessin qu’il plaque contre lui. L’argenté sourit doucement pour le rassurer :

Bryce : Je comprend , tu a toujours mal au ventre à cause de la poche d’hier ?

Les poches alimentaire du rouges assurerait une alimentation pendant 24, le lendemain le rouge était souvent allongé les jambes plié avec de douloureuses crampes d’estomac. Il ne se levait pas mais restait maximum assis et les jambes pliée pour avoir moins mal. Pour toute réponse le rouge posa la feuille a côté de lui et posa sa tête sur l’oreiller qu’il serrait entre ses bras. L’argenté et lui restait toujours ainsi avec au moins un petit mètre de distance pour que le rouge soit à l’aise. Le rouge attendait qu’il lui raconte sa journée, c’était devenu leur rituel pour l’instant.

Qu'est ce que trois face à toute une vie ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant