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La rouge part en se réfugiant dans la chambre de Jordan et Xavier, il ne toque même pas et entre le visage remplit de larmes. L’entrée soudain surprend et inquiète immédiatement les deux. Jordan pose son feutre et Xavier son livre.

Jordan : Claude qu’est ce qu’il se p-

Le rouge fonce le prendre dans ses bras surprenant encore plus les deux autres. Jordan l’entoure de ses bras et le garde contre lui sanglotant bien que dans l'incompréhension totale. Xavier ferme la porte et vient s’asseoir à côté d’eux après avoir repoussé la table de lit avec les mandalas du vert. Il dit doucement :

Xavier : Que s’est il passe Claude ?

Claude : C-c’est B-Bryce cet idiot. I-il est fatigué de moi ! J-je lui fait trop mal, il veux m-m’abandonner ! J-j’ai c-crié fort, s-si fort e-et, et…

Il semble incapable de continuer trop agité et secoué pour continuer. Xavier et Jordan se regardent alertés, jamais l’argenté n’aurait dur cela comme ça.

Claude : J-je peux pas m-moi sans lui, s-sans lui J-je serais seul, c-comme avant

Jordan : Comme avant ?

Claude :  Là bas, J-je sais pas où, m-mais là bas .J-je me sentais si seul, I-Il me manquait e-et

Jordan sursaute et le prend par les épaules. «  Là bas » C’est comme comme ça qu’il appelait toujours son cachot à son retour.

Jordan : Tu tu souviens ? Là bas où ? Quand ?

Xavier ; Jordan je crois pas q-

Le rouge se défait du vert brutalement ;

Claude : J’en sais rien moi ! Y’a un là bas d’accord ?! Où, quand j’en sais rien, c’est ce que je ressent ok ?! C’est insensé et j’y peux rien !

Xavier pose une main sur son épaule :

Xavier : Calme toi Claude, d’accord on va éviter de te poser ce genre questions.

Le rouge sanglote.

Claude : J-j’en ai marre de p-pas savoir q-qui je suis X-Xav, J-je veux p-pas le p-perdre M-mais J-je lui fais mal.

Il pose sa tête contre lui, et Xavier l’entoure d’un bras.

Xavier : Je sais Claude, si on le pouvait on te dirais tout. Tu ne le perdra pas, si il a mal pour toi c’est parce qu’il t’aime. Je crois pas qu’il voulait dire que tu le fatigue, mais qu’il est fatigué parce qu’il se sent impuissant.

Le rouge soupir commençant à se calmer, la colère redescendant petit à petit. C’est vrai, c’est exactement ce qu’à dit l’argenté, mal et frustré de ne pas réussir à plus l’aider. Si ça se trouve il se blâmer même de son état alors que ce n’est pas le cas. Néanmoins l’idée que l’argenté n’ai pas voulu dire qu’il est un boulet qu’il soit trainer le rassure légèrement. Puis ce n’est pas vraiment le genre de l’argenté. Il murmure :

Claude : Je lui ai dis d’aller se faire foutre.

L’argenté lâche un petit rire en le gardant contre lui :

Xavier : Ça te ressemble bien.

Claude : Tu crois ?

Xavier : Oui.

Claude : Je sais pas, moi-même je trouve ma réactions disproportionnée, comme ci il n’y avait pas de raison de Peter un câble comme ça.

Qu'est ce que trois face à toute une vie ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant