Qu'est ce que trois face à toute une vie ?

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On toqua à la porte et le rouge sursauta et s’aggripa à Bryce.

Jordan : Bryce c’est moi je peux entrer ?

L’argenté regarde le rouge qui fixe la porte en serrant fort son bras.

Bryce : Est-ce qu’il peux rentrer ?

Le rouge prend sa main et la sert fort, l’argenté commence à bien connaître cette réaction.

Bryce : Oui Jordan mais doucement.

Le vert entre et voit les deux dans le canapé. Le rouge tremblant, recroquevillé contre l’argenté.

Bryce : Lion, il va s’assoir par terre en face du canapé d’accord colle ça on est en hauteur.

Le rouge alterne son regard entre le vert et Bryce hésitant, apeuré. Il finit par resserrer la main de l’argenté.

Bryce : Tu peux venir Jordy, mais doucement.

Le vert avance lentement. Ça lui fait mal au cœur de voir le rouge recroquevillé comme ça terrifié. Il s’assoit ensuite parterre devant eux. Jordan et Claude s’observent . Jordan dit à voix basse :

Jordan : Je suis désolé Clô’ je voulais pas te faire peur j’ai avancé sans réfléchir en voulant de rassurer. Pardon.

Bryce sent les mains du rouge l’agripper un peu moins fort, ses tremblements baissent d’intensité et il jauge le vert. Le rouge ne devait pas s’attendre à des excuses mais avait dû le laisser rentrer culpabilisant de l’avoir blessé. Le regard du rouge tomba sur le pensement dont on voyait une trace de sang. Le rouge se pencha légèrement et tandis le bras tremblant. Jordan surpris ne bougea pas et Claude caressa doucement le pansement. Jordy murmura pour ne pas lui faire peur :

Jordan : Je sais que tu ne voulais pas me faire mal mais seulement m’éloigner tu a juste mal visé sous la peur c’est tout.

Le rouge le regarde, puis se recul et agrippe son t-shirt au niveau du cœur. Si l’argenté ne pouvait deviné réellement ce que voulait le rouge, Jordan semblait comprendre.

Jordan : Je sais Clô’, je ne ne saurais jamais exactement, mais je vois, je sens comme tu va mal. J’aimerais tellement te revoir sourit comme quand on faisait des cookies ensemble.

Les yeux du rouge s’embuent. L’argenté voir qu’une quesgkon semble se former dans les yeux du rouge et Jordan semble comprendre laquelle :

Jordan : Je sais mais il a eu peur Clô’. Imagine si on avait blessé Bryce comme ça, vu que tu l’aime tu aurais forcément Peter un plomb. Te connaissant peut être même pire que Xavier.

Le rouge fronce les sourcils mais ne fit rien .

Bryce : Lina devrais regarder ta plaie, le sang s’étend sous ton pansement, faudrait que t’aille te faire recoudre.

Jordan : Jake doit finir de soigner Joch qui a du la bonne idée de mettre son doigts dans un taille crayon. Il sait recoudre ça alors il s’en occupé juste après.

Le vert et le rouge s’échange à nouveau un long regard et Jordan sourit :

Jordan : Je sais que tu nous aime, tu n’a pas besoin de te justifier il te faut du temps c’est tout. Quand tu ira mieux on ira refaire un pique nique tout les quatre et on vous laissera même votre instant en amoureux.

Le rouge fronce les sourcils et Jordan rigole :

Jordan : Je sais que tu es en colère contre Xavier mais je t’assure qu’il ne pensait pas à mal Clo’. Alors oui il fera parti du pique nique.

Le rouge lâche un soupir faisant rire les deux autres. Bryce est vraiment surpris que Jordan sache si facilement savoir ce que pense Claude, mais le vert a toujours du un don pour imaginer ce que ressent les autres et ce qu’ils peuvent penser. Et ce d’un simple regard. Le vert fin

Jordan : Je vais vous laissez tranquille c’est bientôt l’heure d’exctinction des feu.

L’argenté se lève et le rouge aggripe sa main :

Bryce : Je lui fait juste un câlin de bonne nuit. Je ne te lâche pas la main

Le cœur de vert se sert et l’argenté se lève sans quitter la main du rouge et l’etreint d’un bras.

Bryce : Merci Jordy et bonne nuit.

Le vert lui rend l’etreinte :

Jordan ; Bonne nuit Bryce, bonne nuit Clô’

Le rouge le regarde et le vert lui sourit puis s’en va. L’argenté se rassoit et remet le plaid.

Bryce : Tu vois ? Tout va bien.

Le rouge hoche la tête et se pose contre lui. L’argenté sourit et pose sa joue contre sa tête en serrant doucement sa main

Bryce : Je suis fier de toi tu as voulu faire des efforts aujourd’hui, tu les a laissé entré et tu a laissé entrer et s’approcher Jordy aujourd’hui. Ça lui a fait énormément plaisir tu sais ?

Le rouge lève les yeux vers lui et l’argente sourit ;

Bryce : Ça s’est vu à son regard.

Il obtiens un petit sourire du rouge et sourit également. Comme quoi malgré la peur qu’il a eu et cette crise violente, le rouge ne baisse pas les bras. Parce qu’il aurait très bien pu je pas vouloir que l’on s’approche de lui, même lui. Le rouge pourtant était là, dans ses bras, exténué, mais contre lui. Le rouge murmure:

Claude: Amour ?

L'argenté sourit:

Bryce: Toujours Lion.

Le rouge le regarde comme si c'était difficile pour lui d'y croire.

Bryce: Depuis mes sept ans et jusqu'au restant de ma vie.

Le rouge rapproche son visage, l'argenté le sent essayer de contrôler ses tremblements de peur face à la proximité qu'il s'impose. Il pose une main sur sa joue et la caresse. L'argenté lui sourit tendrement. Il fait constamment des efforts constamment et ça le touche.

Claude: À moi ?

L'argenté le regarde surpris.

Bryce: À toi ?

Le rouge hoche la tête faisant sourire Bryce qui vient également caresser sa joue, bien qu'il tremble, le rouge ne sursaute pas cette fois. Bryce comprend que c'était le début de la sortie de son mutisme, ça ira doucement, des mots qui sont importants pour le rouge, un ou deux de temps en temps jusqu'à aller assez mieux.

Bryce: Oui Lion, cet amour est à toi, avec toi, là pour toi.

Le rouge se rapproche et l'embrasse doucement faisant fondre le cœur de son copain qui répond au baiser avec tendresse. Les tremblements du rouge cesse en quelques secondes, peut être oubliant sa peur totalement à ce moment précis. Voilà la différence avec ce qu'il avait vécu, dans son cachot ce genre de rapprochement n'était pas de l'amour mais de la violence, l'amour c'était ce que le rouge vivait ici, sans douleur, sans raison d'avoir peur.