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Le lendemain quand l’argenté de réveil c’est un matin aussi mouvementé que la soirée de la veille. La sol de la chambre est inondé de dessins, d’écritures, des traits rageurs. Bryce trouva le rouge dans son lit, un carnet et un crayon posé sur la couette, il se balance en grattant son avant bras frénétiquement malgré le sang qui semble en sortir.

Bryce : Claude !

Il se précipite et prend son poignet sans penser à la frayeur de celui-ci. Le rouge le retire brutalement et se recul jusqu’au fond du lit la main plaquée contre son torse.

Bryce : Je ne te veux pas de mal Lion, c’est moi Ice.

Mais le rouge le regarde terrifié en se remettait t à gratter son avant bras. 

Bryce : Claude s’il te plaît arrête t-

Le rouge jette le carnet au sol.

Bryce : Claude !

Le rouge balance le crayon nerveux. L’argenté hausse le ton ;

Bryce : Claude écoute moi !

Le rouge tourne son regard vers lui :

Bryce : Il n’h a personne d’autee dans la chambre, je ne te souhaite aucun mal et quelque que soit tes tentatives tu ne fera rien d’autre qu’amocher ton bras alors arrête s’il te plaît !

Le rouge s’immobilise et le jauge comme l’on jauge un nouveau venu. Il finit par remonter ses jambes contre son torse, poser sa tête sur ses genoux, entourer ses jambes de ses bras et fixer la couette. L’argenté se lève doucement, le rouge sursaute. Il le fixe alors et le suit du regard quand Bryce prend la petite trousse à pharmacie sur l’étage. Lorsqu’il s’approche le rouge recul, cognant le dossier du lit.

Bryce : je ne te veux aucun mal, seulement nettoyer ton bras d’accord ?

Le rouge le toise et Bryce comprend que il ne peux pas l’approcher, que c’est impossible pour le rouge. Il pose prudemment la trousse sur le lit.

Bryce : D’accord si tu ne veux pas que je m’en occupe alors je te la pose la.

Il se recul doucement et le rouge met un coup de pied dans la trousse l’envoyant au sol. L’argenté sent son cœur se serrer. Il décide de le laisser seul et prend ses affaires de douche puis sort sous le regard du rouge.

**

Le shaker atterrit au sol violemment t s’ouvrit, déversant son contenu sur le plancher. Le rouge l’avait jeter et l’argenté n’avait pas où l’approcher pour s’occuper de sa sonde.  L’argenté soupir et ramasse tout ça et nettoie. Il part chercher la serpillière et revient. Le rouge observe chacun de ses mouvements caché derrière ses jambes plaquées contre lui. L’argenté avait ramassé toute les feuilles au début le rouge avait paniqué et commencé à balancé un coussins, puis deux alors l’argenté lui a montrait qu’il les lui rangeait sur sa table de nuit et le rouge à arrêté et l’a laissé faire en fixant la fenêtre à nouveau ailleurs. L’argenté ne sait pas vraiment quoi dire, le rouge ne semble pas forcément l’entendre ou comprendre ses paroles, il ne le regarde que quand il se deplac, pour vérifier qu’il ne lui fera rien. Comme il ne le connaissais pas et ça faisait mal à l’argenté.
On toqua à la faisant sursauter violemment le rouge. L’argenté marche prudemment devant lui, ouvre la porte et se glisse dans le couloir devant Xavier.

Xavier : Salut, comment enfin … ça va ?

L’argenté sent ses yeux s’embuer et refoule ses larmes en secouant la tête :

Qu'est ce que trois face à toute une vie ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant