Bryce : Lion je suis rentré
Il trouve le rouge assis parterre à côté de la porte.
Bryce : Lion ?
Il s’accroupit doucement et découvrit que le rouge s’était endormit ainsi, le bout de ficelle encore dans sa main entrouverte.
Il m’a attendu ?
Ça ne l’étonne pas après son cauchemar/crise de cette nuit là’ le rouge avait eu énormément de mal et l’avait rejeté, l’argenté devait être bien plus loin en terme de distance que d’habitude’ Le rouge entre larmes, sanglots et respiration haletante avait desdiné avec un regard obsessionnelle. Ses mouvements étaient violent, rapides, nerveux. Il avait ensuite balancé le dessin au sol et s’étalt allongé en position fœtal en serrant son oreiller contre sa poitrine ignorant l’argenté et tentant en vain de se calmer. L’argenté avait prit la feuille et découvert le dessin de deux silhouettes assis dans la même position. D’un côté un chien, et de l’autre une silhouette nue, avec un bâillon dans la bouche et une larme le long de la journée Et toujours ce tableau avec la femme terrifiante qui les observait. L’argenté avait très vite compris que c’était un souvenir d’une des vidéos tournées sur la centaines trouvée par la police sur internet. Il n’avait pas pu s’hier pendant cette crise, le rouge balançant tout ce qu’il pouvait trouvé, c’est pourquoi l’argenté l’avait laissé de calmer seul et s’endormir. Lorsqu’il était partit en cours le rouge dormait encore cette fois ci et il l’avait laissé se reposé. L’argenté n’a aucune idée de la journée qu’il a pu passé mais pour qu’il l’attende elle devait pas être terrible.
L’argenté va déposer doucement ses affaires de cours et décide de se mettre à ses devoirs tant que le rouge n’est pas réveiller, comme ça il pourra passer plus de temps avec lui. Il dit donc ses devoirs et quand il commençait à ranger il sentit quelque chose tirer sur son t-shirt et se retourna. Le rouge ensommeillé tirait sur son t-shirt.Bryce : Ça va Lion ?
Le rouge se frotte le yeux et tire plus fort sur son t-shirt de l’autre main.
Bryce : Tu veux quelque ch-
Il se fait tirer par le rouge, ou plutôt se laisse tirer par le rouge qui le rapproche en tremblant.
Bryce : Tu veux un câlin ?
Le rouge le regarde sans réussir à dire si oui ou non mais sa main tremblante sert toujours son t-shirt alors l’argenté s’approche lentement et si le rouge sursaute il se laisse faire. Bryce sait que le rouge à du mal avec le fait que des bras l’entourent alors il ne l’entourent que d’un bras, d’une prise douce, l’attirant contre lui. Le rouge l’entoure de ses bras en tremblant et accrocher ses lainà son t-shirt.
Bryce : Ça a été dur aujourd’hui hein ?
Le rouge cache sa tête dans le cou de l’argenté tremblant.
Bryce : J’aurais aimé pouvoir te rassurer avant de partir mais tu dormais déj-
Le rouge le coupe en l’embrassant de lui-même, ses mains serra t fort son t-shirt en tremblotant. Son baiser chercher désespérément la raiponce de ses lèvres, ses mains qui accroche semblent chercher du réconfort. L’argenté comprend et l’entoure de ses deux bras, répond à son baiser avec douceur en caressant doucement son dos. Ils échangèrent plusieurs baiser, et cela calma le rouge petit à petit, l’argenté sentant l’emprise de ses mains se détendre, ses baisers moins attaquant. L’argenté caressa ses cheveux et murmura :
Bryce : Tu es tout le temps dans la chambre, et si on allait dans le salon ?
Le rouge se remet à trembler il cache la tête dans son cou.
Bryce : Je peux demander à Xavier de demander aux autres d’en sortir. Si c’est pour que tu change d’air un peu personne ne refusera. Et dans les couloirs on fera vite.
Le rouge lève la tête pour le regarder, cette idée semble le terrifier. Même ses yeux s’embuent.
Bryce : Mon cœur, ce n’est pas bon pour toi d’être tout le temps dans cette chambre. Et puis là bas il y’a les grandes portes fenêtre, on peux les ouvrir si tu en a besoin.
Le rouge tremblant prend sa main dans la sienne et la sert, ou plutôt l’écrase. L’argenté voit son hésitation, il porte lentement une main au visage du rouge qui sursaute. Celui-ci stop son geste un moment et le rouge finir par rapprocher sa tête de la main de l’argenté qui caresse donc sa joue.
Bryce : Personne ne te fera du mal mon cœur. Si tu veux tu peux prendre ton pots à crayons, si quelqu’un t’embête tu le balance. Et puis je suis là moi, personne ne viendra t’embêter.
Le rouge le regarde et s’écarte légèrement en gardant sa main dans la sienne signe que c’est d’accord. Bryce envoya un message d’une main a Xavier pour le prévenir, puis sourit et récupère le pot à crayon d’attaque du rouge qui le prend rapidement et le sert contre lui. L’argenté sourit, ressert sa main dans la sienne et ils sortent. Ils durent marcher lentement, le rouge tremblait de tout son corps, sa respiration était agitée, il regardait nerveusement chaque personne qu’il croisait. Au bus de son état tout le monde marchait le plus loin de lui, les grands empêchèrent les plus petits insouciant de courir dans le couloir. Le rouge suivait son copain en écrabouillant de ses maigres forces sa main. Heureusement ils finirent par arriver bien vite en bas et l’argenté referma doucement la porte du salon derrière eux, veillant à la laisser légèrement entrouverte pour ne pas que le rouge au peur et de dentelle enfermé dans ce lieu où il n’avait plus l’habitude d’y aller. Son premier geste fut d’ouvrir les porte fenêtre et de s’assoir parterre juste devant. Il tremblant de froid mais ne bougeait pas. L’argenté prit un plaid et s’asseya doucement à coté de lui, le rouge ne recula ni ne sursauta mais le regarda.
Bryce : Je t’ai pris un plaid je peux te le mettre.
Le rouge le regarde toujours alors l’argenté lui pose prudemment sur les épaules et le rouge ne cesse de le regarder, il sourit ;
Bryce : Avec toi je commence à croire que j’ai constamment quelque chose de collé sur le visage.
Le rouge soulève du bras son côté de plaid et l’argenté sourit et l’y rejoins. Si le rouge tremble de cette proximité, l’argenté ne bougea pas et le rouge se détendit peu un peu. Il se mit à regarder le g jardin.
Bryce : Tu te rappelle, avant que tu doive partir, tout les weekend ont passait l’après midi dans le Jardin avec Xavier et Jordan. On passait notre vie à jouer des tours à Dave. Il savait d’avance ce qu’on allait faire mais il faisait toujours semblant de se laisser avoir et ça l’amusait autant que nous.
Le rouge eu les yeux dans les vagues, sûrement en se remémorant les dires de l’argenté.
Bryce : Tu te rappelle quand on a fait du foot avec Lina ? Qu’est ce qu’elle était nul ça nous a bien fait rire même si on l’a vexé. Heureusement que la tarte aux pommes de Jordan a dit reconquérir son cœur.
Le rouge sourit très légèrement ce qui fut sourire l’argenté. Le rouge posa finalement sa tête contre l’épaule de son copain qui en fut attendrit. Ils passèrent le temps jusqu’au diner ainsi. Tout deux assis parterre, l’un contre l’autre sous le grand plaid, l’argenté racontant leur souvenirs heureux de cette période et le rouge écoutant peut être même presque apaisé. Cela leur fit du bien. Et deux espions qui regardaient par la porte entrouvertes sourires aussi, le vert serrant doucement la main de Xavier dans la sienne ravi.
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Qu'est ce que trois face à toute une vie ?
FanfictionContenue sensible, peut heurter la sensibilité des lecteurs. Mention: TS, TCA...