PARTIE III - ACTE IV

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Bonjour.

Juste un petit message pour vous dire que cet acte va taper fort sur notre duo, comme d'habitude (Ne me maudissez pas^^) C'est nécessaire à l'intrigue. Mais pas d'inquiétude ca se décante juste après promis^^

Il va aussi être un peu plus long que d'habitude.
La suite ne devrait pas trop tarder à arriver.

Même si je me base sur énormément de choses en lien avec l'actualité, et  sur des sources vérifiables en grande majorité (partie qui me prend le plus de temps), je rappelle que cette histoire reste de la fiction et les prochains actes vont forcément suivre en ce sens.

Après, rien n'empêche les entre-deux adaptables ^^ XD

Je tenais aussi à préciser que souvent la modification de la mise en page est apparemment un plaisir que wattpad se fait. Même en essayant de reprendre la mise en forme, beaucoup de chose bouge ou saute, indépendamment de ma volonté. j'espère que ca n'empêche pas la fluidité de la lecture.

Bon'Acte☺

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Scène 1
Appartement Stéphane Séjourné
11h25


Point de vue Stéphane Séjourné


« D'accord, j'ai compris... Oui Jonathan, pas de problème, on fait comme ça... De toute façon ça se tasse déjà non ?... Mmm... Ok. »

« Non je ne l'ai pas eu. J'imagine que ça n'a pas dû lui venir à l'esprit...»

« ... La finale de judo ?... Non je ne pense pas. Je pense que je serais déjà parti... A part retard de dernière minute...»

« Je ne sais pas encore pour la clôture... tu sais que ce n'est pas trop mon truc tout ça... je verrais ...»

« Merci Jonathan, à la prochaine... »

Le ministre avait raccroché et une décompression lente et méthodique lui déflagra les poumons. Comme toujours l'Elysée avait pu trouver une réponse à une question, une logique à une réflexion, une solution à un problème. Et il en vint à se demander si tout était vraiment aussi facile dans l'existence. Si tout était aussi défini. Et délimité. Le problème avait été résolu et pourtant il ne s'en sentit pas soulagé, comme si un poids le retenait.

L'homme s'approcha de la balustrade de son petit balcon parisien. Il observa les toits, les fenêtres, les fleurs. Le vol des oiseaux. Le ciel. Une mélancolie le prit. L'Elysée avait donné des réponses. Mais qui s'occupait de ses questions à lui ? Qui prenait compte de ses réflexions ? Qui s'occupait de ses problèmes ?

Ce feu d'artifice au palais d'Iéna avait été magique, vibrant, lumineux.
Et puis il était devenu sombre, froid, nostalgique... mouillé. Et oublié.

L'homme laissa son regard dériver sur les gens qui circulaient en contre bas. L'appartement qu'il avait loué pour la période des jeux olympiques était petit mais avait une vue incroyable sur la ville. Et sur les rues et les monuments, parés aux couleurs du pays.

La sonnerie de son appartement le fit se figer malgré lui.  

«Ca n'a pas trainé». pensa-t-il aussitôt.

Il resserra alors ses mains sur la rambarde en fer forgé. Et eut comme une envie de pleurer.


Scène 2

#ELECTIONS_SOUS_EDITSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant