L'ombre des projecteurs

Chapitre 17

Hello chers lecteurs,

Un petit mot pour vous remercier : vous êtes déjà plus de 3 000 à lire L'ombre des projecteurs, et ce en si peu de temps. Merci infiniment !

Je tiens également à vous remercier pour tous vos retours. C'est un véritable plaisir de vous lire et de connaître vos avis. N'hésitez pas à continuer ainsi, vos commentaires sont précieux.

TW : Le prochain chapitre pourrait être perturbant pour certains lecteurs. Selon votre sensibilité, il est tout à fait possible de ne pas le lire et de poursuivre directement avec les chapitres suivants.

Prenez soin de vous.

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Arrivés à l'hôtel, ils entrèrent dans le hall. Helena glissa un regard furtif vers Pierre, comme pour s'assurer qu'ils partageaient le même sentiment. Ils montèrent dans l'ascenseur, et l'espace confiné intensifia leur proximité. Pierre put sentir la chaleur d'Helena à côté de lui, et le rythme de son cœur s'accéléra. Dans l'ascenseur, l'atmosphère fut chargée d'une douce tension. Helena se tourna vers Pierre, un sourire espiègle aux lèvres. Il s'approcha d'elle, et leurs regards se croisèrent avec intensité. Pierre sentit son cœur battre plus fort.

« Embrasse-moi », ordonna presque Helena.

Le baiser fut doux au début, mais rapidement, il s'intensifia, partagé entre douceur et passion. Leurs mains s'effleurèrent, et Pierre ressentit la chaleur d'Helena, comme si le monde extérieur disparaissait. Dans cet espace clos, chaque seconde sembla durer une éternité. Ils se perdirent l'un dans l'autre, oubliant tout autour d'eux.

L'un dans l'autre, ils oubliaient tout ce qui les entourait. Lorsque l'ascenseur arriva à leur étage, ils se séparèrent rapidement pour rejoindre la chambre de Pierre. Helena, un instant, crut qu'ils allaient repartir chacun de leur côté, mais Pierre avait d'autres intentions en tête. Il baissa la tête et s'appuya doucement contre elle, glissant un bras sous son dos pour la guider vers sa chambre, entra dans celle ci et la dirigea vers le lit. Helena écarta les jambes, permettant à Pierre de s'allonger entre elles. Son visage se retrouva tout près de sa poitrine. Elle redressa la tête pour l'embrasser, incapable de patienter davantage. Leurs lèvres se frôlèrent à peine avant qu'il ne recule doucement pour enfouir son visage dans son cou, y déposant un baiser tendre. Ensuite, lentement, il rapprocha ses lèvres des siennes, l'embrassant au coin de la bouche, puis dans le cou, provoquant des frissons de plaisir qui parcoururent tout son corps.

Ses lèvres effleurèrent à nouveau les siennes, et il glissa sa langue sur sa lèvre inférieure avant de la refermer puis de l'ouvrir de nouveau. Son baiser était lent et délicat, sa langue s'entremêlant avec la sienne. Une main posée sur sa hanche, il agrippa le tissu de son pantalon satiné, descendu sur ses cuisses, tandis que l'autre caressait doucement sa joue. Helena, les bras enroulés autour de son dos, le serrait contre elle. Elle avait envie de lui mordre la lèvre, de lui enlever son t-shirt, mais la douceur de ses baisers à cet instant était encore plus intense que leurs échanges passionnés.

Les lèvres de Pierre se fondirent sur celles d'Helena, tandis que ses mains remontèrent doucement dans son dos. Les hanches de Pierre se pressèrent contre elle, et un gémissement s'échappa de ses lèvres. Il étouffa ce cri en capturant chaque mouvement de sa bouche avec la sienne.

« Oh, Helena, tu me fais un effet...tu me donnes des envies de... » murmura-t-il finalement.

Les doigts de Pierre glissèrent délicatement entre leurs corps et descendirent lentement vers les jambes d'Helena. Sous ce contact, elle retint sa respiration. Il commença à la caresser doucement à travers son pantalon avant de le retirer d'un geste fluide. En accentuant la pression de ses doigts, Pierre la fit basculer en arrière, provoquant un gémissement de plaisir.