Chapitre 11

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T.W. ! : chapitre comportant des scènes d'agressions sexuelles !

Andrew saisit les rennes en cuir suspendues au crochet et attacha les poignets du garçon dans son dos pendant que ce dernier se débattait comme un diable.

-Monseigneur, arrêtez je vous en prie ! Pardonnez-moi pour mon insolence, je ne recommencerai plus !

Le marquis asséna le domestique d'une violente gifle pour le faire taire. Il défit à la hâte les bas du garçon pour dévoiler son postérieur. A la vue des chairs délicates, la respiration du marquis devint rauque.

Les sanglots de Peter redoublèrent, le garçon était terrifié par le sort que lui réservait le noble. Il ne connaissait rien au pêché de chair, percevant les ébats sexuels comme quelque chose de primitif et sale. Le jeune palefrenier ne s'était même jamais adonné aux plaisirs personnels. L'idée que le Marquis puisse assouvir ses besoins sur sa personne l'horrifiait.

-Pensais-tu vraiment que je ne te voyais pas me fuir comme un vulgaire rat depuis des jours ? Susurra le noble dans l'oreille du garçon pendant qu'il sortait son pénis en érection de son pantalon.

Le Marquis constata que cette fois son sexe n'avait aucune difficulté à se dresser. L'idée de besogner un puritain de force était bien plus exaltante qu'une orgie de dépravés qu'il avait déjà pratiqués.

Peter se tortilla dans tous les sens lorsqu'il sentit un corps étranger se frotter contre ses fesses. Frappé de stupeur, il réalisa que c'était le pieu de chair du Maître.

-Comment oses-tu m'éviter, dans mon propre domaine ? Je vais t'apprendre que tu ne peux m'échapper.

Le marquis exerça une pression contre l'anus du garçon. Ce dernier poussa un hurlement de terreur lorsqu'il comprit l'intention de son Maître.

-M-Monseigneur, vous-vous n'allez pas mettre votre...dans mon... ?

Andrew adressa un sourire machiavélique au garçon qui se trouvait à sa merci. Torturer un puritain était une délicieuse façon de terminer cette soirée.

-Bien sûr que si. Répondit-froidement le Marquis, tranchant impitoyablement la sentence du pauvre domestique.

Le Marquis enfonça la tête du garçon dans les bottes de paille pendant que son autre main força le cercle de chair avec son pénis. Alors que le noble pénétra de plus en plus profondément le ventre du domestique, ce dernier poussa un hurlement de douleur, étouffé dans le foin. Peter avait l'impression d'être empalé par une épée. Ses joues, couvertes de larmes, le pauvre domestique suffoquait entre les bras du noble, des morceaux de paille dans la bouche. Andrew se mit à rire de la détresse du garçon, l'humiliant encore un peu plus. Peter était consumé par la haine qu'il ressentait à cet instant précis envers le marquis.

Lorsque le noble s'enfonça entièrement dans le garçon, une vague de chaleur l'envahit. Il se retira d'un coup sec, arrachant une plainte au garçon pour se replonger brutalement dans ses chairs, frappant le fond des entrailles de sa proie. Peter, paralysé par la douleur, hurla à plein poumon. Il crut le temps d'un instant que son corps s'était déchiré en deux. Les chevaux paniqués par les cris du palefrenier, s'agitaient dans leurs box.

Le marquis glissa ses doigts entre les lèvres du garçon pour le contraindre à ouvrir sa bouche.

-Respire. Tu vas tourner de l'œil si tu retiens ton souffle aussi longtemps.

Peter ne répondit pas, seuls des sanglots s'échappaient de ses lèvres. Le marquis accéléra ses va-et-vient dans les chairs ensanglantées du garçon.

Le noble martela violemment le derrière du pauvre domestique, avide d'en tirer le moindre plaisir. Les hurlements du garçon étouffés dans la paille diminuèrent de plus en plus pour finalement s'éteindre complètement. Seuls le bruit des sabots des chevaux et les claquements du bassin du noble contre le postérieur du domestique résonnaient dans les écuries. La respiration du noble s'accéléra de plus en plus, au rythme de ses coups de rein.

Dans un grognement bestial, Andrew tira violemment sur la chemise du palefrenier jusqu'à la déchirer pendant qu'il se vidait ente ses cuisses.

A bout de souffle, le noble posa son front contre l'omoplate du garçon, un sourire satisfait sur les lèvres.

-Ton corps semble bien moins puritain que ton esprit, mon garçon.

Comme le palefrenier ne répondit pas, Andrew retourna brutalement le corps du domestique, à nouveau irrité par son insolence. Les yeux du domestique étaient clos, il avait perdu connaissance. Le noble s'esclaffa, il ne s'en était pas aperçu, trop absorbé par son propre plaisir. Frustré de ne pouvoir profiter davantage de son palefrenier, Andrew se rhabilla à la hâte.

Il jeta un dernier regard sur le corps étendu dans la paille avant de rejoindre ses quartiers. La lèvre du garçon était ouverte à cause du coup qu'il lui avait porté. Ses cheveux étaient ébouriffés et emmêlés de pailles. Du sperme mélangé à du sang s'écoulait de son postérieur, encore dilaté.

Un sourire sadique se dessina sur les lèvres du marquis, la vertu du garçon n'était plus qu'un lointain souvenir.

L'amant du Marquis Où les histoires vivent. Découvrez maintenant