64 :

410 73 92
                                    

« L'ange de la mort observais en riant... »

Le lendemain matin

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.







Le lendemain matin.
08h54






— Alors ?! demandais-je au médecin tout en faisant les cents pas dans la chambre


— Madame Walsh sincèrement vous ne vouez rendez pas compte du temps fou que vous me faites perdre.


Le médecin lâche la paupière de Liam en poussant un long soupire.


Ce matin j'ai demande à ce qu'il lui refasse passer des examens, je sais qu'il doit être débrancher demain, mais hier il à ouvert les yeux !


J'ai très bien vue et j'étais bien réveillé donc personne me fera croire l'inverse.


— Mais enfin, je vous dis qu'il a ouvert les yeux ! Je l'ai vu, c'était... juste un instant, mais il y avait de la buée sur son masque, et...— j'essaye de lui expliquer, ma voix tremblante.


Il pousse un profond soupire et me regarde un air sévère sur le visage.


Il me crois pas.


Il me crois pas du tout..


— Madame Walsh, dit-il en retirant ses lunettes d'un geste las, je comprends que vous soyez jeune et que vous ayez du mal à appréhender la réalité de la situation, mais...


Là vous voyez là ? C'était le truc à pas dire.


Il à vraiment LA chose, qu'il ne fallait pas.


Un rire nerveux s'échappe de mes lèvres.


— ARRÊTEZ DE ME PARLER COMME SI JE N'ÉTAIS QU'UNE GAMINE ! hurlais-je, les poings serrés, la voix brisée par l'émotion. N'IMPORTE QUELLE FEMME, SI ELLE VOYAIT SON MARI OUVRIR LES YEUX APRÈS TROIS PUTAIN DE MOIS DE COMA, RÉAGIRAIT COMME MOI ! JE NE SUIS PAS FOLLE ET JE NE SUIS PAS IMMATURE, EST-CE QUE JE ME SUIS BIEN FAIT COMPRENDRE ?!


Ma voix résonne dans la chambre, mes mots s'écrasant contre les murs blancs.


Je dévisage maintenant le médecin totalement essoufflée. Celui ci me fixe l'air vraiment agacé tandis que l'infirmière qui vient de rentré nous jauge tout les deux l'air paniquée..


— Madame Walsh, intervient-elle d'une voix hésitante, peut-être devrions-nous prendre une petite pause, d'accord ? Essayons de... nous calmer.


Je respire bruyamment, le souffle court, la poitrine serrée. Mon regard ne quitte pas celui du médecin, et pendant un instant, c'est comme si le temps s'était figé.


Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : 7 hours ago ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

[He was.]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant