La voiture s'arrêta devant une immense demeure, majestueuse et intimidante, digne d'un palais. Les lumières dorées illuminaient les contours de cette maison que je n'avais jamais vue auparavant. Mon cœur battait à tout rompre, une partie de moi hésitant à savoir si je devais m'échapper maintenant ou accepter ce qui allait venir. Mais avant que je ne puisse bouger, il sortit du véhicule et contourna rapidement la voiture.
La portière s'ouvrit avec fracas, et je levai les yeux vers lui. Ses traits étaient tendus, ses mâchoires serrées, et son regard brûlait d'une colère froide. Il tendit la main vers moi, mais je ne bougeai pas.
« Descends, Jeni'er. » murmura-t-il, sa voix basse et vibrante de menace.
Je secouai la tête, refusant de céder.
Sans un mot de plus, il se pencha et m'attrapa par la taille, me soulevant sans effort comme si je ne pesais rien. Je me débattis, frappant son torse avec mes poings, mais il ne fléchit pas.
« Lâche-moi, Da Shu ! » criai-je, mais il ne répondit pas.
Il me porta à travers le vaste hall, où chaque détail - du marbre au lustre imposant - semblait crier richesse et pouvoir. Mais je n'avais pas le temps de m'attarder sur ces détails. Je sentais sa poigne ferme, ses bras musclés m'emprisonnant, et je savais que je ne pourrais pas échapper à ce qui allait suivre.
Il monta les escaliers d'un pas rapide, ses chaussures martelant le sol comme une promesse silencieuse. Lorsqu'il ouvrit une porte double, je découvris une chambre digne d'un roi : un lit immense, des draperies sombres, et une ambiance qui semblait être taillée pour une scène de domination absolue.
Il referma la porte derrière nous d'un coup sec, et me déposa sur le lit avec une brusquerie maîtrisée. Je me redressai aussitôt, mais avant que je ne puisse parler, il se tenait déjà devant moi, dominant l'espace de toute sa présence.
« Tu as éteint ton téléphone à Paris. » dit-il enfin, sa voix glaciale et tranchante. « Tu as cru que tu pouvais disparaître, m'ignorer. »
Je baissai les yeux, mon cœur tambourinant, mais il s'approcha, saisissant mon menton pour m'obliger à le regarder.
« Regarde-moi quand je te parle. » murmura-t-il, son ton chargé d'autorité. « Ce genre de choses, c'est moi qui décide. Et tu as cru que tu pouvais me désobéir ? »
Je tentai de répondre, mais aucun mot ne sortit. Une larme glissa sur ma joue, mais cela ne fit qu'intensifier le feu dans ses yeux.
« Tu mérites d'être punie, Jeni'er. »
Avant que je ne puisse protester, ses mains se glissèrent dans mon dos, et en un geste habile, il fit glisser la fermeture de ma robe. Le tissu soyeux tomba sur mes épaules, révélant ma peau nue à la lumière tamisée. Je levai les mains pour couvrir ma poitrine, mais il attrapa mes poignets, les plaçant fermement sur mes genoux.
« Ne bouge pas. » ordonna-t-il, sa voix basse et menaçante.
Il s'assit sur le canapé en face de moi, me regardant avec une intensité qui me fit frissonner. Puis, d'un geste de la main, il me fit signe de m'approcher.
« Viens ici. »
Je restai figée, secouant la tête.
« J'ai dit, viens ici, Jeni'er. Maintenant. »
Ses mots, bien qu'emplis de colère, portaient une autorité à laquelle je ne pouvais échapper. Tremblante, je me levai et m'approchai lentement. Quand je fus à portée, il m'attrapa par la taille et me fit basculer sur ses genoux.
« Tu crois pouvoir me défier ? » murmura-t-il près de mon oreille. « Tu crois que je te laisserais t'en tirer comme ça ? »
Sa main glissa sur mes hanches avant de s'abattre violemment sur ma peau. Je sursautai, un cri étouffé m'échappant.
« Da Shu, arrête ! »
Mais il continua, sa main s'abattant encore et encore, chaque coup laissant une brûlure cuisante sur ma peau.
« Tu m'appartiens, Jeni'er. » murmura-t-il, sa voix rauque. « Et je vais te le rappeler à chaque fois que tu l'oublies. »
Mes larmes coulaient librement maintenant, et mes protestations se transformèrent en supplications. Mais il ne s'arrêta que lorsque mes fesses furent rouges, brûlantes sous son toucher.
Quand il relâcha enfin sa prise, je roulai sur le côté, le souffle court, les larmes brouillant ma vision. Il se leva, dominant l'espace, et me fixa de son regard intense.
« Je suis le seul qui décide. Tu comprends ? » murmura-t-il, sa voix redevenue calme, mais tout aussi implacable.
Je hochai la tête, incapable de parler, mes joues en feu autant que mon corps.
Il s'approcha alors, s'agenouillant devant moi. Ses doigts effleurèrent ma joue, essuyant mes larmes avec une douceur presque déconcertante.
« Souviens-toi de ça, Jeni'er. » murmura-t-il, ses lèvres à quelques centimètres des miennes. « Toujours. »
Et avant que je ne puisse réagir, il m'embrassa, un baiser aussi intense et possessif que l'homme qu'il était.
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Mon oncle et moi ( da shu)
RomanceDans cette histoire fascinante, suivez le parcours d'une jeune fille de 18 ans qui, après une décennie d'absence, retrouve son oncle mystérieux et séduisant. À l'âge de 8 ans, elle avait perdu tout contact avec lui, mais aujourd'hui, à 35 ans, il e...