Destin cruel t.1 : Aline

16.

Salut !

Alors j'ai quelque chose de très important à vous dire. C'est pour cela que je poste ce petit message, merci à ceux qui le liront jusqu'au bout !

J'ai peu de personnes qui votent et commentent. Pas que je veuille en avoir une multitude, mais j'aimerais bien avoir divers avis, et lecteurs. Alors à partir de maintenant, je fixe un objectif pour avoir la suite. Cela peut être irrégulier comme tout les jours si c'est respecté. Les cartes sont entre vos mains : alors partager, parlez en à vos amis, expliquez le concept de Wattpad, etc... Et je vous en serez reconnaissant !

Aujourd'hui, j'ai eu le temps de m'avancer, donc je vous le poste. Et l'objectif est de 30 vues, 15 votes, et 10 commentaires. Je compte sur vous mes chers lecteurs !

Enjoy le chapitre !

*

"Je me rue sur la serviette et m'enveloppe maladroitement avec. Une fille rentre, ses longs cheveux blonds platines en pagaille, le mascara qui a coulé sur ses joues couvertes de fond de teint, et le rouge à lèvre qui a bavé. Elle est seulement vêtue de sous-vêtements. Quand elle me voit, elle crie aussi, et referme la porte en la claquant. Je soupire de soulagement, et me dépêche de m'habiller. Je vais avoir une sérieuse discussion avec les deux rigolos. Je range mes affaires dans ma chambre et me dirige vers celle de Louka. Je pousse la porte, et ô bonheur ! Mon frère porte un jogging, quand à l'autre fille, elle est seulement vêtue d'une mini jupe et d'un immense décolleté."

- On ne t'a jamais appris à toquer avant d'entrer, s'énerve mon frère.

- Et ta pétasse, elle a frappé avant d'entrer dans la salle de bain, répliquais-je moi aussi en colère.

- On ne savait pas que tu étais rentrée !

- Oh oui, je l'ai remarqué avec tes gémissements, en dis-je en pointant du doigt le pot de peinture. Vos "vas-y mon amour" ou encore les "plus vite" j'aurais pu m'en passer, tu vois ?

- Ça va, elle est désolée.

- Elle est désolée ?!

- Je ne suis pas désolée chouchou, commence la fille. Moi j'ai apprécié ! Tu sais bien que j'aime bien m'exprimer pendant qu'on le fait.

- Toi le pot de peinture tu te la ferme !

- Chouchou ! Tu as vu comment elle me parle ! Défends moi ! D'ailleurs c'est qui cette salope ?

"Je vais me la faire."

- T'es sérieuse, m'exclamais je en me ruant sur elle.

"Je suis stoppée par des bras provenant du corps de mon frère."

- Brenda, tu dégages de chez moi. Tu as assez foutu le bordel.

- Mais chouchou, tente t'elle de commencer.

- Dehors.

"Elle sort et passe la porte de l'appartement. Je me dégage de ses bras, et pars vers ma chambre. Il me poursuit, et entre dans ma chambre en coup de vent."

- Et tu peux pas frapper avant d'entrer. Merde quoi, explosais-je.

- Eh, Aline, c'est moi. Je reste toujours ton grand frère.

- Mon grand frère qui m'a promit de se calmer avec les filles. Et bizarrement, on vient juste de rentrer que t'es obligé de t'en taper une !