Florebo Quocumque Ferar TOME II

Chapitre 27

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Mon correcteur foire... C'est donc un chapitre avec beaucoup de fautes... Désoler mes petits chats je corrigerais ça quand ça sera possible... Fiouuuuu * Pas content!*

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Le silence qui régnait était pesant. Qu'est-ce que ma mère avait dit pour réussir à faire changer d'avis Lafolia. La reine sans pitié.

- Une proposition ? Quel genre de proposition ? Fis-je soudainement intéressé par la tournure des événements.

Lafolia leva les yeux au ciel et nous invita à quittés la salle du trône.

- Parlez de ça entre vous, je suis épuisée... Pesta-t-elle. Vous pouvez disposés.

Ma famille compris bien vite qu'il valait mieux s'exécuter avant qu'elle ne change d'avis. Je voulu protester, mais mon paternel me fit taire d'un seul regard. Un regard qui disait clairement " Nous en parlerons en privée, ferme la." Avant de quitter la salle, je risquai un dernier coup d'œil à Adrian et le remerciais pour sa gentillesse envers moi par un geste de la tête qu'il comprit aussitôt.

Lorsque nous fûmes enfin dans la chambre où je logeais, mon père brisa le silence.

- Es-tu devenue complètement folle ?

Il était rare que j'entendes mon père hurlé, mais là... Waow.

- C'était la seule chose qui me soit venue à l'esprit, tu ne peux pas me blâmer de ne pas souhaité ta mort Marcus ! S'offusqua ma génitrice.

- Quelqu'un veux bien me dire ce qu'il s'est passer bordel ? Je pars, Lafolia veux tuer papa et quand je reviens elle change subitement d'avis ? Qu'est-ce que tu as fait maman ?

- J'ai passer un marché avec elle. Voilà tout.

Seigneur... Conclure un marché avec Lafolia ne me viendrais même pas en tête. Cette femme était le diable en personne. Un diable qui avait l'apparence d'une gamine certes, mais un diable quand même.

- C'était quoi ce foutue pacte ? M'emportai-je.

J'en avais marre de ne pas comprendre la situation. Personne ne me disait de quoi retournait le marché. Je devenais littéralement folle. J'avais les cheveux et les yeux noirs et je sentais une étrange pression contre ma poitrine alors que je m'énervais de plus en plus. Comme une sorte de puissance qui coulait dans mes veines et qui menaçait d'exploser comme une véritable bombe si je ne me calmais pas immédiatement.

- Lydia ! Ton langage ! Lança mon père sur un ton autoritaire que je n'aimais pas mettre à l'épreuve.

- Pardon... Mais dites moi de quoi il s'agit ?

- J'ai dis à Lafolia qu'en échange de notre liberté à tous, je lèverai le sort que lui à jeter la sorcière que ton grand-père avait engagé.

Oh... Alors, c'était ça ? Je me calmai aussitôt. Effectivement je comprends mieux l'intérêt soudain de Lafolia. Ma mère était une sorcière très puissante, je le savais, mais je ne savais pas à quel point jusqu'à ce que je la retrouve tout à l'heure et que mon troisième œil capte son aura. C'était...Éblouissant. J'arrivais maintenant à sentir la force des personnes qui m'entourais grâce aux auras que mon troisième œil pouvait analyser. Mais il y avait une chose que je ne comprenais toujours pas.

- Pourquoi es-tu en colère alors ? Fis-je en me tournant vers mon père.

- C'est très sûrement de la magie noire et j'ai horreur que ta mère y touche. Vu la force de Lafolia, la sorcière qui l'a ensorcelée est sûrement morte en le faisant. Et si une vie est prise pour lancer un sort, alors une vie doit être prise pour lever ce sort. C'est assez évident. Pourquoi crois-tu que personne n'as réussi à lever le sort jusqu'à maintenant ? Personne ne l'a jamais osée.