Chapitre 62 ( El Lemona )

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/!\ EL LEMON ALERTE, tout enfants susceptibles ou épileptiques : Ne pas lire la scène suivante. Merci d'avoir choisis la Compagnie Air Lemona, ou Lemona Airlines, bienvenus à bord de cet avions qui va à destination de Icardia ! Ladys and Gentleman, thanks you for choose Lemona Airlines compagny for your travelling ect... ect... Fleme d'écrire la suite, vous comprenez hein *-* ( Ma maman dis que je suis spécial : * -    * ( Comprendra qui pourra ) hurm... )
Let's goooo ! : /!\

PDV ICARE :

Même après tellement de baisers, chaque échanges de lèvre étaient magique. Je savais que je n'allais jamais me lasser d'elle. Les récents événements l'avaient complètement détruite. Je faisais de mon mieux pour la faire sourire à nouveau. En vain. Jusqu'à ce que son coeur se métte à accélérer de façon chaotique lorsque Olvia nous expliqua les deux variantes du sort d'Hélène. À ce moment-là, j'ai sus ce que je devais faire pour la voir heureuse encore une fois. C'était l'occasion rêver.

- Tu es... Sûr que... Marmona-t-elle en se décollant plusieur fois de mes lèvres.

- Tais-toi, ordonnai-je. Laisse toi aller.

Il était hors de question qu'elle perde son temps à se tracasser pour des choses futiles. J'avais prévue autre chose pour elle. Je la fis tombée sur le lit pour qu'elle soit totalement allongée. Je glissais mes mains sous son petit haut, faisant fremir le tissus sous mes gestes brusques. Lydia, elle, ne me quittait plus des yeux, elle me désirait pleinement maintenant. C'est dans un mouvement vif et rapide que je fis valser son tee-shirt dans la piece. Profitant de la vue sur sa poitrine que j'aimais tant.

- Tu es... Magnifique, songeai-je doucement.

- Arrête ! Ricana-t-elle en plaçant ses bras sur sa poitrine pour se cachée par simple pudeur.

- Tu ne me cacheras pas ça, avertis-je en la forçant à enlever ses bras.

Elle fit une moue reprobatrice avant de se détendre totalement après avoir pris une grande inspiration. Je fis glisser ma langue sur sa gorge, irritant au passage mes pulsions vampirique. Mais, non. Pas encore, je n'allais pas la mordre, pas pour le moment, elle n'était pas prête. Ma langue glissa jusqu'à son buste pour titiller le bout de ses seins. Elle gémit automatiquement. Sa peau était recouverte par des milliers de frissons dû au désir et au plaisir. Ses phéromones étaient en train de s'agiter dans tous les sens. Je collais mon bassin contre son entre-jambes. Elle avait toujours son short en jean et moi mon boxer, mais rien que l'effet de contacte m'excitait au plus haut point. J'allais lui faire ça fête, c'était décidé.

Lasse de jouer avec son tétons maintenant dures, je la deshabillait intégralement. La voir nue était comme voir une oeuvre d'art, une oeuvre inestimable.

- Tu n'a pas idée à quel point j'ai envie de toi, murmurai-je à son oreille.

- Moi aussi, répondit-elle en mordillant le lobe de mon oreille.

Cela avait le don de me rendre fou. Elle le savait pertinemment. Lydia savais parfaitement comment attiser le désir en moi. Une de ses petites mains baladeuses aggripa la forme explicite qui s'était formée dans mon boxer. Je ne pus m'empêcher de serrer la mâchoire. J'avais envie d'elle, de son sang, de ses gémissements, de ses baisers contre moi. Je me faisais violence pour ne pas la mordre maintenant.

Je la pris dans mes bras et m'installa correctement sur le lit. Mes jambes étaient allongé sur le matelas, mais mon dos était appuyer contre la tête de lit. Lydia était à califourchon sur moi, assise sur ma bosse qui commençait sérieusement à me gêner. Elle dut lire dans mes pensées, sa main libèra mon membre en faisant glisser l'élastique de mon sous-vêtement.

- Je n'en peux plus, remarqua-t-elle à bout de souffle en saisissant ma virilité d'une main.

Sans dire un mot, elle leva légèrement sa partie inférieure et fit glisser mon sexe en elle.

- Oh... Gemit-elle en s'asseyant de plus en plus sur moi.

Je ne parlais plus, si j'ouvrais la bouche, j'allais lui faire mal. Je me retenais, même si la sensation divine était de plus en plus intense. Lydia ramena son buste contre le mien. Elle commença elle-même les vas et viens. D'abord rapidement, puis elle radoucit la cadence au bout d'un certain temps à cause de la fatigue.

- Je vais finir par avoir des crampes aux jambes si je continue de faire ça, avoua-t-elle les joues rosies par nos ébats.

- Laisse-moi faire, lâchai-je calmement en prenant sur moi pour ne pas lui sauter à la gorge.

Je la remenait complètement contre moi, enroulant mes bras dans le bas de son dos, maintenant ainsi la pressions contre mon corps. C'est alors que je commençais à mon tour, à donner des coups de reins.

- Seigneur, Icare... Haleta-t-elle.

Sa voix, embrumé par le sexe était une mélodie enchanteresse. Je maintenais fermement son bassin grâce à mes bras, me permettant ainsi de donner des gros coups de reins en profondeur. La sensation chaude et humide de son intérieur était parfaite. Comment avais-je pus me retenir aussi longtemps de la prendre ?

- Icare ! Hurla-t-elle en enfonçant ses ongles dans ma nuque.

Son orgasme arriva de plein fouet. Je sentis ses parois se resserrés fermement contre mon membre avant de sentir un flaux de liquide en elle.

- Oh mon dieu, lâcha-t-elle la voix tremblante. C'était génial !

- C'était ? Qui te dis que c'est terminé ? Remarquai-je.

Elle aussa un sourcil d'un air incrédule. Oh, non, non, non. Je n'avais pas encore eu mon orgasme, c'était loin d'être terminé. Je repris une cadence beaucoup plus violente, la serrant encore plus fort contre moi. Sa poitrine était la seule chose que je voyais. C'était terriblement bon.

Ses gémissements se transformèrent en hurlement, elle n'en pouvait plus, mais ça m'étais égale. Je savais qu'elle aimait ça. Elle s'abaissa à ma bouche pour m'embrasser afin de couvrir ses hurlements, mais la vu sur sa nuque me rendais fou. Je l'embrassait délicatement avant de la mordre violemment.

Voilà, là, c'était... Le paradis. Le florilège de sensations m'offrait un tel niveau de plaisir que ça devrait en être interdit. Lorsque je sentis ses paroies se resserrés à nouveau autour de mon sexe, se fut la goutte de trop. Dans un grognement rauque et bruyant, je me lâchai en elle. Une explosion de délices presque interdits, autant pour elle que pour moi.

- Putain... De... Merde.... Souffla-t-elle en se décollant de mes crocs.

- Là, c'est terminé, la taquinai-je.

- T'es sûr ?

- Ne me tente pas, la conseillai-je.

Elle afficha un sourir narquois avant de me tirer la langue et de bouger son bassin sensuellement alors que j'étais toujours en elle. J'aggripais ses cheveux et la força à me regarder dans les yeux.

- Tu n'aurais jamais dû faire ça, la menaçai-je avant de repartir dans un deuxième round d'amour pur et explosif.

Cela faisait bien plus d'une heure que nous avions commencés. Olvia était déjà sûrement partis. Alors, nous avions tous le temps devant nous pour assouvir nos désire l'un envers l'autre.

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BOOOOOOOMME ! Double chapitre aujourd'hui car le tome 1 à passer les 100k de vues! DONC JE VOUS REMERCIE AVEC UN DOUBLE CHAPITRE DONT UN LEMON ! OUAAAAIIIIIKIS ! Tous le monde à genoux, on me remercie alller aller j'attend vos remerciements.

Je blague hein... J'ai fais ça pour vous :) profitez bien! À demain pour la suite mes amoures ! Je vous aimes.

- Pagode, Cloche et Santiago <3

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Florebo Quocumque Ferar TOME IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant