VIOL

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Il avance vers moi tout nu. Seigneur, avec un air pétrifié, je tourne la tête vers la salle de bain et lui dis :

— Tonton ta serviette est tombée.

La peur m'envahit cette fois-ci, mon cœur va exploser tellement il bat fort et vite.

— Tu vas obtempérer et tout va bien se passer pour le reste de ta vie. Je prendrai toujours ta défense si tu m'obéis.

— Que vas-tu me faire ?

Il se jette sur moi, me force à ouvrir la bouche en soutenant fort sur mes deux joues avec son pouce et son index. Il introduit son sexe et appuie fort sur ma nuque comme pour m'étouffer. Dans ma tête, tout devient obscur, je n'arrive plus à penser.

— Hou, essayai-je de sortir comme hurlement, mais rien.

— Ne tente rien sinon je vais dire à ta tante que tu as désiré voir mon énorme pénis si appétissant.

Il me pousse sur le lit puis commence à me toucher partout, je sens une grosse boule au ventre qui monte, je vais vomir. J'ai très peur et tout ce qui me vient à l'esprit en ce moment est le visage angélique de ma défunte mère. Je suis complètement perdue, en même temps je veux crier, mais je reste paralysée. Il détache ma jupe d'une violence et enlève mon slip, je me débats de toutes mes forces possible, mais vu sa taille et son poids ; je n'arrive pas à le dégager de moi. Tonton Sakher est toujours allongé sur moi, il introduit son énorme sexe tout dur en un seul coup. Cela m'a tellement fait mal que je ne saurai décrire ma douleur. Il va m'étouffer, mais sans trop appuyer fort de peur de me tuer peut-être. Je le sentais au plus profond de moi, a-t-il mis quelque chose qui a atteint mes intestins ou mon estomac. Il continue ses mouvements avec une cadence plus intense et précipitée puis il murmure avec une voix tremblotante :

— Sale chienne, ton vagin est délicieux. Il lâche un cri qui m'a terrifiée, car il crispe tout son corps et j'entends de sous l'oreiller sa respiration et le battement de son cœur tellement rapide. Il s'écrase sur moi avec un ricanement qui m'effraie plus que tout. Je me retrouve en pleurs, j'ai la gorge sèche, avec une voix tremblotante ; je balbutiai, essayant de m'échapper de sous cet oreiller sur mon visage.

— Ne me tue pas s'il te plaît.

Tout décontracté, il éclate de rire en faisant une pirouette sur le lit. Avec un air jovial, il m'ordonne d'aller me doucher avec des menaces de mort ou de me dénoncer à tata Cira.

— Tu sais très bien qu'elle va me croire plutôt que de prendre ta défense.

Je me lève en sanglotant et tombe par terre, du sang qui coule de mes parties intimes jusqu'à mes pieds, je tremble et j'ai terriblement mal au ventre, entre mes jambes et partout d'ailleurs. Je n'ai plus de force, j'ai peur. Il m'aide à me remettre debout et je vois qu'il a paniqué quand il a ouvert la porte. Il m'a immédiatement porté et en deux secondes je me retrouve dans ma chambre que je partage avec la petite Cira. J'ai rampé jusqu'à la salle de bain puis je me renferme à double tour.

La Destinée De Mimi N'diayeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant