Chapter 36

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Hey hey hey ! Z'allez bien ? Perso ça va ! Contente de vous retrouver pour le chapitre 36 les amis ! Bonne lecture !


PDV  Fukano


Pour la seconde fois, je me réveillais dans la chambre d'amis de Brybry. Mais dès la première seconde où mes paupières s'étaient ouvertes, j'avais senti un changement. Zera n'était plus à côté de moi, son odeur envoûtante n'était plus près de moi. Je me releva d'un bond, et fut éblouis par le soleil froid de l'hiver. Mes pupilles s'adaptèrent doucement à la lumière. Je pus d'ailleurs apercevoir l'astre au zénith, j'en déduis donc qu'il doit être aux alentours de 12h. ((bieeeen Fuka!))


Zera ne doit pas être parti depuis longtemps, car sa place est encore tiède. Je me lève donc et ne suis absolument pas choqué, en arrivant à la cuisine, de voir Zera vider les placards de Brybry pour chercher quelque chose à manger, en vain. Il ouvre toutes les petites portes blanc cassé, se met sur la pointe des pieds pour observer les étagères du haut, redescend et continue son petit manège. Je le regarde attentivement, pouffant quand il referme les placards d'une grosse claque avec la paume de sa main.


Le connaissant, il doit sûrement chercher un pot de Nutella. Mais comme je suis déjà venu chez mon ami de l'AR, je sais où il cache la fameuse pâte à tartiner. Et Zera ne cherche absolument pas au bon endroit ! Je m'approche alors silencieusement et fait le tour de la table en bois. Il ne me remarque pas, je continue donc mon chemin jusqu'à arriver à la ligne de placards au-dessus de la gazinière. Lui commence à chercher sous l'évier, alors qu'il sait pertinemment qu'il y trouvera plus du liquide vaisselle et toutes sortes de produits ménagers que du pain de mie et du dit Nutella. Je m'agenouille lentement, et ouvre le placard à côté d'un grand tiroir, là où Brybry range ses ustensiles de cuisine. Et bingo ! Le pot rempli de pâte marron est là, pile en face de moi. Je le récupère puis m'installe sur une chaise, derrière Zera. Il est sourd où quoi ?!


« Hey ! »


Un tout petit mot qui fit bondir mon petit-ami. Il se retourne d'un coup et me fixe, haletant. Un énorme fou rire me prend, et s'accentue quand le regard d'Adrien devient plus sombre que l'ombre. ((je sais c'est nul mais j'voulais test xD)) Après que sa respiration se soit un peu calmée, il s'approche de moi et me tire l'oreille. MAIS IL EST FOU ?!


Mes crocs sortent d'eux-mêmes de mes gencives et j'ouvre en grand ma bouche qui est devenue gueule, tandis que mes poils s'hérissent. Ces yeux exprimèrent très vite de la frayeur, et il lâcha mon oreille. Dès qu'il avait cessé de presser ses doigts fins sur le bout de mon oreille poilue, je repris possession de mon corps, qui avait effectué seul ces gestes agressifs mais de défense. Il me fixait choqué, et je le pris dans mes bras. Je ne lui en voulait pas, parce qu'il ne pouvait pas savoir que je réagirais comme ça, je m'en voulais à moi d'avoir réagis comme ça, mais c'est d'instinct ...


Au début il ne fit aucun mouvement mais quelques secondes plus tard, il m'enlaça doucement la taille. Je lui caressa lentement le dos et je baisa quelques fois son cou. A chaque effleurements, il me serrait un peu plus fort contre lui. C'qu'il est chou !


« Fuka, faut que je te dise quelque chose. --Je n'aurai pas été stressé si la voix de mon compagnon encore dans mes bras n'aurait pas été si sérieuse.--

- Je t'écoute .. ?

- Etoiles a reçu un message ce matin et ... Il était bizarre ce message.

- Tu t'es permis de fouiller dans son téléphone ? -Je me recule un peu pour voir ses yeux, ce qui me permet aussi de voir que son visage est tout aussi sérieux que sa voix.--

- Je crois que j'ai bien fais Fuka. Ecoute, je n'ai pas Fouiller son tel, j'ai simplement lu le début du message. C'est une meuf, Camélia qu'elle s'appelle, et elle lui dit un truc du genre ''heu t'es sur Etoiles, c'est dangereux non ?''. Tu trouves pas ça bizarre toi ?

- Si un peu, mais c'est pas une raison pour s'en faire. Etoiles a toujours été quelqu'un de raisonnable quand il s'agit de choses sérieuses.

- Se protéger du froid pour ne pas choper la crève ce n'est pas assez sérieux donc ? --Je ris doucement à sa phrase, mais lui ne rit ab-so-lu-ment pas.--

- Calme-toi mon chéri, si il a un problème il nous en parlera. »


Soudain, un grand sourire illumine son visage. Je le regarde étonné et il m'embrasse sauvagement. Sa langue vient titiller la mienne, et je répond à son baiser, tout de même brusque. Je me recule quelques secondes plus tard pour de 1 : récupérer mon souffle, et de 2 : lui demander des explications.


« Mais mon Fuka voyons ! Tu m'as appelé ''mon chéri'' !!! --S'écrit-il joyeusement. Ce n'est que ça ?--

- Mais sérieux tu viens de me violer la bouche juste parce que je t'ai dis ça ? »


Nous nous mîmes à rire tout deux, puis nous nous réinstallons à table pour petit-déjeuner. Ouioui, il est bien 12h ...


Voili voilou ! Fin de ce pitit chapitre ! Alors comment que c'était ? :* On se retrouve dans les com's ou une prochaine fois pour la suite de l'histoire ! La bise !! <3

En un instant ~ ZeranoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant