MOR Fanfiction - APRÈS SA MORT

Chapitre premier:

*Point De Vu de Constance Weber-Mozart*

Et dire que Wolfgang est mort sous les yeux de se Salieri! Cette pensée m'est insupportable! Déjà, mon Wolfgang est mort et en plus cette insupportable lèche-bottes de Salieri l'a contempler, lorsque mon pauvre mari était agonisant! Il me le payera!

Je n'ai plus envie de réfléchir, je ne réfléchis plus: je vois Salieri regarder se qu'il reste de mon époux, froid, impassible, comme d'habitude, comme si rien ne s'était passé. Alors je me jete sur lui, le ru de coup de pied, de points, tout en pleurant, je déchire sa chemise blanche et sa veste noir... Je ne peux m'arrêter. Mais il me saisit les poignets, m'empéchant de poursuivre cet acte de barbarie.

Salieri: Calmez-vous madame, vous êtes triste et je respecte votre tristesse mais je ne suis pour rien dans la mort de votre mari.

Moi: Si! Si, ne mentez pas! Vous l'avez toujours détesté! Et maintenant, à-cause de vous, mon mari est mort! Il est mort... Mort...

Je ne peux chassé ce mot de ma tête: mort, Wolfgang est mort...MORT!
Rien ne sera jamais pareil.

*PDV (Point De Vu) d'Antonio Salieri*

Je serait les poignets de la femme de mon rival d'hier, qui ne le serait jamais plus.
Je conduis la jeune femme -Constance, il me semble- jusqu'à son lit. Mais elle refuse de lacher ma veste. Son regard est perdu dans le vide. Je secoue le bras, et elle tombe, étalé de tout son long sur le lit.

Constance Mozart, la femme de Wolfgang: Non! Ne me laissez pas, non! C'était notre lit! Je ne peux pas dormir dedans, non... Non!

Moi: Alors, où voulez-vous aller?

Constance Mozart: Je veux aller avec vous! Je ne veux pas rester seule!

Moi: Impossible, madame...

Constance Mozart: Ne me laissez pas...

Cela me fend le cœur mais je garde mes airs froid, et la laisse seule dans cette maison vide.
Si je pouvais me racheter au-près de cette femme, dont le mari est mort par ma faute, je le ferait sans hésiter.