Trente-huitième chapitre :

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*PDV Constance Weber-Salieri*

Quelques heures plus tard.

Nous avons du nous arrêter presque toute les dix minutes. L'état d'Antonio empire. Je ne sais pas si il pourra réutiliser sa main gauche un jour... Heureusement, il est droitier. Mais un musicien à besoin de ses deux mains !
Nous avençons lentement. Mais, attendez. Je... Je vois un toit là bas ! Et ... Le clocher d'une église ! Nous sommes sauver ! Sauver !

Moi: Antoni regarde ! Regarde !

Lui: Mais quoi Constance ?

Moi: Regarde mieux !

Lui, bouche-bée : Serais-ce ... ?

Moi: oui !

*PDV Antonio Salieri*

Enfin ! Un village !
Une trentaine de minutes plus tard, nous nous asseillons dans une auberge.

Moi : Une chambre avec deux lits, je vous prie.

Nous étions au contoir. Je prie du rouge et Constance de l'eau: elle ne buvait pas. J'éxtreillais quelques billets froicer de ma poche: il me restais assez de marks pour payer l'aubergiste et une diligence pour Vienne. Même un-peu plus. Bon, les problèmes d'argent sont réglés. Maintenant, je peux me reposer.

L'aubergiste : Chambre cent-huit.

Moi, fatiguer: Vous avez CENT-HUIT chambres ?

L'aubergiste : Hum, non... Les chambre du premier sont en cent, et celle du deuxième sont en deux cent.

Constance: Heu... Je crois qu'il est fatigué. Viens, Antonio, on y va.

Moi: Où ?

Constance, agacer, perdant passience : Dans la chambre pépé !

Moi: Hé ! C'est pas parce que j'ai cinq ans de plus que toi que je suis vieux, et encore moins ton grand-père !

Constance : Oui, oui, allez, viens.

Nous montâmes. J'étais fatiguée. Constance aussi, sens doute, mais ce fut elle qui m'ôta mes chaussures, et ma veste déchiré. Elle avait lavait mes plaits à l'eau et je m'endormais propre comme un sous neuf.

Le lendemain.

Je payais une diligence, et de nouveaux habits pour Constance et moi. La diligence arrive à quatre heures, et avec l'argent que je leur ai promis, ils sont prêts à nous ramener tout de suite comme seuls passager.

Je paye l'aubergiste, et laisse un pour boire à la femme de chambre. Il est quatre heures. Surpris, l'homme conduisant la diligence nous demande:

L'homme qui conduis la diligence : Vous n'avez pas de males ? Pour un grand trajet comme ça ?

Moi: Non.

Quelques temps après.

Nous sommes arrivé ! Ouf ! Nous nous rendons chacun dans notre chambre. Les lits sont faits, et il y a des bouillottes dedans.

Le lendemain.

Il est onze heure quand je me lève enfin. Constance est dans la salle de jeu, avec Agathe et Wolfgang. Je descend petit déjeuner, et quand je remonte, Constance m'interpèle:

Constance : Antonio ! Il faut que nous vérifions si Nannerl va bien. J'ai peur que Jean ce soit venger sur elle. Et... Il va falloir faire une déclaration aux autorités : j'ai appris qu'une jeune fille du nom de Solène est emprisonné au château de Jean...

Moi: D'accord, alors, euh... On commence par quoi ?

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Désolé pour ma lenteur à laquelle il va falloir vous habituez car j'ai une baisse d'inspiration.
Et aussi pour cet étrange chapitre, plein de bons dans le temps et des ta de trucs inutiles. Concrètement, il sera surtout à les faire rentrer et à faire le point sur leurs "missions".

En ésperant que vous ne m'en voudrez pas trop,
Je vous dis
"Tschüss"(à prononcer "tchusse" et non pas "tchousse", comme le fond certains YouTubeurs, car il y a un "umlaut" (trémat, en français: en gros, ça : ••) sur le U (ü) . En allemand, "tschüss" signifie "salut" et en allemand (bis), le U umlaut (ü) se prononce u, alors que sens ça donne ou.

Voilà ma deuxième leçon d'Allemand de l'année. (A peu près. J'ai pas fait du copier-coller, j'ai pas recopier, j'ai juste appris.)

Donc,
Sur-ce:

Tschüss !

MOR Fanfiction - APRÈS SA MORTOù les histoires vivent. Découvrez maintenant