MOR Fanfiction - APRÈS SA MORT

Trente-troisième chapitre :

*PDV Antonio Salieri*

Il s'approchait. Mes cheveux se dressait sur ma tête. J'atirait Constance vers moi, et je voulu partir, que nous nous enfuyons vers la voiture mais ô horreur, nous étions encercler par des hommes dégoutant, avec d'affreuse dents en or. Tout ce qu'il y a de plus caricatural ! Ils avaient de longs couteaux de boucher. Ils étaient une cinquantaine, peut-être une centaine ! Les hommes riaient. Je pris Constance encore plus près, mais elle me repoussait.

Elle, chuchotant: Je me défendrais seule. Laisse moi.

Moi: Tu n'a pas peur ?

Elle: Si. Mais c'est toi le malade, et moi la fautive.

La fautive ? Qu'entendait-elle par là ? Rien n'était sa faute !
Elle m'embrassa, puis nous nous retournions pour faire fasse à l'adversité : Jean.

Jean: Comme c'est touchant ! Alors Constance, tu sais que ce n'est pas beau de mentir ?

Constance ne répondit pas.

Jean: Ah ! Tu ne lui a pas dit ? Pas même à ton époux adorer ? Non ? Je te laisse une dernière chance de le faire, sinon je m'en occupe.

Comme elle ne répondit rien, il continuait:

Lui: Bon, très bien. Si tu préfères que je lui dise... Antonio, je n'ai pas ... Comment dire, ce n'est pas le genre de chose dont on parle. Bon, voilà,... Ce n'est pas moi qui ai commencer à embrasser votre femme. Elle c'est mise à le faire, et j'ai, disons, répondu à ces attentes, que vous étiez manifestement incapable de combler.

Moi: Je ne vous croit pas.

Il voulait nous désunir, il avait inventer.

Lui: Pensez ce que vous voulez. Allons-y, voulez-vous ? À, oui, Monsieur Salieri, vous irez dans votre voiture, et Constance et moi, dans l'autre.

Moi, entre mes dents: Ne l'appeler pas Constance.

Je me retenais de rajouter : Espèce d'insolant ! Ou : Sauvage ! Ou encore: Vous êtes abjecte ! Lâche ! Aurait également fait l'affaire.

Nous montâmes dans les voitures, après que Constance est échanger avec moi un dernier regard terrifier.