Quarante-troisième chapitre :

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*PDV Constance Weber-Salieri*

Antonio: Je vais chercher de quoi faire du feu.

Moi: Non, ne sort pas. Si Jean ou l'un de ses hommes arrive, tu es mort. Alors qu'ici, on a une chance.

Lui: Peu importe. Je prend le risque.

Il se détourna de moi, vers la sortie. Je le retient par la manche.

Moi, murmurant : Ni vas pas. Reste au près de moi.

Lui, doucement : Je revient dans un instant.

Il se dégagea doucement et partie. La lumière me picota les yeux, lorsqu'il dégagea les branches et le buissons, pour sortir.
Il les remit en places, et s'en fut. Mais il revient très vite. Pendant ce temps, j'avais fondu en larmes: pourquoi l'avais-je tuer, pourquoi ?  Antonio à tuer le dernier mais il était obligé. Il n'avait pas le choix; l'autre était un dur à cuire... Mais moi ? De quel droit ai-je votre la vie à un homme ? Puis qu'il existe une punition divine, pourquoi y en aurait-il une humaine ? Je n'avais pas à le punir, encore moins si sévèrement ! Il l'aurais déjà  été suffisamment à sa mort...
Je m'arrache des cheveux, je hurle. Alerté par mes cris et mes pleures, Antonio arrive.

Antonio, s'agenouillant près de moi: Constance...

Moi: Antonio... Je l'ai tuer ! J'l'ai tuer !!!

Lui, prenant mon visage entre ses mains, m'obligeant a le regarder: Tu m'as sauver.

Je ne sus que dire... C'était vrai, j'en pris conscience. Mais... J'aurais pus le blessé, j'aurais quand même sauver Antonio...

Lui: Tu n'as pas fait exprès. Ne t'en veux pas...

Je baissais la tête: notre situation était déjà si compliqué... Et moi tous ce que je trouvais à faire c'est pleurer sur mon sort...
Antonio se lève, rebouche l'entrée et fait un petit feu. Il ne nous permet pas vraiment de nous réchauffer mais surtout de voir.

Antonio: Si quelqu'un arrive, on éteint le feu ! Son craquement pourrait attirer leur attention.

Je hochais la tête.

Antonio: Ça va ?

Moi: Hum...

Il me pris dans ses bras. Cela me calma instantanément​. Nous restâmes là un moment, le temps de m'apaiser complètement. Quand Antonio se détourna, ce fus juste pour rallumer le feu.

Moi, dans un murmure: Merci.

Lui: De rien. Si tu n'avais pas été là, je serais mort.

Moi, doucement : Et maintenant ? Qu'est-ce qu'on fait ?

Lui, après un instant de réflexion : On n'est plus près de chez Nannerl que de Vienne ... Nous devrions aller chez elle...

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Chapitre légèrement insignifiant mais en même temps Constance devait se remettre... Et ils connaissent maintenant leur direction !

Autrement, merci beaucoup à Kationa_AVSL, qui a créé ma nouvelle couverture !

MOR Fanfiction - APRÈS SA MORTOù les histoires vivent. Découvrez maintenant