Quatrième chapitre:

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*PDV Constance Weber-Mozart*

Ça fait deux jours que je suis au courant. Je suis enceinte! Non! Non... Wolfgang, tu ne vera pas notre bébé. Je suis désolée Wolfgang... Si désolé...
J'en étais là de mes sinistres pensées quand Aloycia arriva dans la chambre:

Aloycia, d'un ton autoritaire: Constance,on doit parler.

Moi: De quoi?

Aloycia: De ton enfant.

Moi: Il n'y a rien à dire.

Elle: Bien-sûr que si! Tu n'a pas de travail, comment conte-tu élevé un enfant sans père?

Moi: Je me débrouillerais !

Elle, sarcastique: En devenant femme de chambre?

Moi, énerver: Je ne sais pas! C'est ça que tu voulais!?

Elle, plus doucement: Constance, tu dois prendre un nouveau mari.

Le choc. Comment pouvait-elle penser que je me remarirait! Je suis en période de deuil, et puis... Je ne trahirait pas Wolfgang!

Moi: Il n'en ai pas question !

Elle part, sachant que je suis plus têtu qu'une mulle.

*PDV Antonio Salieri*

Aloycia... Weber, on va dire, arrive vers moi en souriant.

Aloycia Weber: Monsieur.

Moi: Madame.

Elle: J'aimerais que vous ramenier ma petite sœur à la raison, si se n'est trop vous demander.

Moi: Sur quel sujet, je vous prie?

Elle: Sur le sujet qu'elle doit absolument se remarier.

Moi, stupéfait: Mais elle est en période de deuil!

Elle: Mais elle ne peut pas s'occuper seul de cet enfant!

Suis-je bête?! Cela se fait dans la petite bourgeoisie, de se remarier en période de deuil! Mais je suis un aristocrate, ce qui change tout.

Aloycia Weber, pincée: Très bien, puisque vous ne voulez pas m'aider.

Et elle s'éloigna, fière et digne.
Elle ressemble infiniment à sa soeur Constance, parfois.

MOR Fanfiction - APRÈS SA MORTOù les histoires vivent. Découvrez maintenant