MOR Fanfiction - APRÈS SA MORT

Vingt-huitième chapitre :

*PDV Antonio Salieri*

Sept mois plus tard.

J'allais voir Constance. Là, je suis dans ma voiture, pour aller chez elle.
J'arrive. On me conduisait jusqu'à la chambre de ma femme. Cela faisait longtemps que je ne l'avais pas vu.

Le valet: Monsieur Salieri.

Constance, se retournant: Antonio ! Bonjour.

Moi: Bonjour. Constance, j'irais droit au but: j'aimerais que vous reveniez. Je vous aime. Je vous donnerai tout l'amour enmagasiner durant toutes ces années où j'étais cacher derrière un masque de fer. Je vous en supplie.

Elle : Non, Antonio, non. Je ne vous aime pas.

Moi: Mais vous m'avez aimer.

Elle: Notre amour était basé sur un mensonge.  Je ne vous aime plus.

Moi: On ne contrôle pas ses sentiments Constance.

Elle: Si je vous aime, je ne veux pas pour autant vivre avec vous. Durant tous ce temps passer loin l'un de l'autre, j'ai refoulé mes sentiments, mon amour comme ma haine. Je ne vous déteste pas, Antonio.

Moi, murmurant: S'il vous plaît. Je vous en prie

Elle: Je suis désolée mais c'est non.

Je ne savais pas quoi répondre.

Elle: Voulez-vous voir Wolfgang ?

Moi: Je veux bien.

Elle me conduis à une chambre aux murs roses et bleus. Un berseau est là, dans un des coins de la chambre. Oh là là ! Il a grandi ! Mais bon, inutile de mentir, je m'en fou un-peu. Constance me parle. Je m'extirpe de mes pensées et l'écoute.

Elle: ... Et toi, tu deviens quoi ?

Toi ? Ça se présente mieux !

Moi: Je ... Deviens.

Elle, riant: Eh bien, tu n'es guère locasse, aujourd'hui !

Moi: Je ne l'est jamais vraiment été.

Je ris vaguement, un rire forcé, alors que celui de Constance est clair, sinsère, joyeux... Franc. C'est le mot.

Que faire ?! Partir, je n'ai pas le choix.

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N'hésitez pas à lâcher un p'tit comm' sur ... Votre avis sur ce chapitre, la fiction en général, voilà, tous ça. Si vous avez une question aussi.
Bref, voilà, ça me ferais très plaisir !