Dix-huitième chapitre

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*PDV Constance Weber-Salieri*

Un mois plus tard.

Antonio passe ses journées au boulot, et essaye de m'éviter. Qu'est-ce qu'il a ?
À, le voilà !

Antonio : Bonjours !

Moi: Bonsoir.

Lui: Qu'est-je fait pour ressevoir un pareil accueil ?

Moi: Il est vingt deux heure.

Lui: Oh, oui, pardon.

Moi: C'est oublié.

Lui: Qu'as-tu fait aujourd'hui ?

Je baissais la tête. Anty ne voulais pas que je recherche l'assassin de mon ancien époux.
Il fit passer deux doigts sous mon menton et relèva mon visage vers le sien. À son regard, je vit qu'il avait compris.

*PDV Antonio Salieri*

Je n'en peux plus, je n'en peux plus ! Il faut que je lui dise la vérité !
Un mois que je la fuis. Un mois que je travaille comme un fou pour oublié de que j'ai fait à la femme que j'aime.
Je ne peux pas passer le réstant de mes jour à me cacher de ma propre femme !

Moi: Constance je dois te dire quelque chose.

Elle: Quoi ?

Moi: C'est m... Je ne voulais pas que tu recherches celui qui a tué ton ex-mari car... Parce que... Parce que... c'est... C'est moi.

*PDV Constance Weber-Salieri*

Je rensentais un sentiment indescriptible : de la haine.
Tous s'écroulait autour de moi. TOUS ! Anty, comment as-tu pu... Non, non, c'est impossible !
Puisque tout s'écroule, moi aussi. Je me laisse tomber sur mon lit et hurle:

Moi: JE TE DETESTE ANTONIO ! PARS !

Il sort de la chambre. Je suis détruite. Je l'aimais !  Non, je n'est jamais aimer un autre que toi Wolfgang.
Que faire, à présent ? Partir ! Mais où ? Je sais ! À Salzbourg, chez la sœur de Wolfi. En parlant de Wolfi... Est-ce que je le laisse chez Antonio ?  Ou est-ce que je l'emmène avec moi ? Je n'ai pas d'argent...
J'ésitait encore quand j'entendit un cri horrible, à glacé le sang. On aurait dit... On aurait dit quelqu'un qui étouffait.

MOR Fanfiction - APRÈS SA MORTOù les histoires vivent. Découvrez maintenant