Quarente-septième chapitre :

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Rappelle: A- Antonio meurt et Constance faite prisonnière
B- Ils s'enfuient tous les 2 et Jean est tué pendant la bataille.

Voilà vous avez choisi la A !

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*PDV Antonio Salieri*

Nous fûmes aussitôt​ pris au piège. Les hommes se rapprochèrent, nous n'étions pas armée, nous ne pouvions rien faire.
Une calèche arriva. Jean en décendi. Je sus alors que j'étais un homme mort.

*PDV Constance Weber-Salieri*

Non ! Non il n'osera pas le tué ainsi devant moi nan ! 

Jean, doucement: Constance ? Approche veux tu ?

Moi, avec férocité: Non je ne veux pas !

Il changea d'expression.

Jean: Ammenez-la moi.

Deux homme me prirent par le bras et m'emenèrent jusqu'à Jean. Je me débatais je voulais rejoindre Antonio. Mais je ne parvenais pas à le rejoindre. Lorsque je fus près de lui, Jean me mis une dague sur la gorge, et m'ordonna de regarder.

Alors, il tua Antonio. Avec un fusil. De sa main libre.

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Alors vu qu'Antonio est mort et que j'ai besoin de 2 Point de Vue, je vais introduire celui d'un autre personnage : Jean.

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*PDV Jean*

Désolé monsieur Salieri. Je ne voulais pas vous faire de mal. Je voulais faire du mal à votre femme. Et la tué aurait été trop sympathique. Elle n'aurait pas souffert. Pardon.

Mais je me suis venger de cette garce ! Ah ah, et ce n'est pas fini...

*PDV Constance Weber-Salieri*

Je me précipitais vers le corps sans vie d'Antonio. Je ne pus pas même récupérer ses dernière paroles. Il était mort. Jean ordonna à ses hommes de m'emmener. Ils me faisait entrer dans la voiture de Jean. Nous allâmes jusqu'à sa demeure. Nous nous arétions dans le jardin et je vis la soeur de Jean: Marie ! Elle était beaucoup plus mince, flottant dans sa robe trop large. Son visage était maculé de suis.
Jean avait du comprendre qu'elle m'avait aider ! La pauvre femme ! Tous ses efforts réduit au néant par la mort d'Anty.
Ma gorge se serra. Il était mort.

*PDV Jean*

Le passage c'était étrangement bien passer. Elle était calme.
Une fois arrivé, je la faisait guidé jusqu'à sa chambre de la dernière fois. Mais ça ne se passerait pas comme la dernière fois. 

Moi, ouvrant un paquet: Constance met cette robe.

Elle me cracha au visage. Je lui saisit la main et la tirait vers moi. Je la faisait tourner et déchirait sa robe. Elle était en sous vêtements. Je lui enfilait, avec des gestes brutaux, la robe que je lui avait acheté, et serrait le corset au maximum. La robe était en velours noir.

Moi: Maintenant, tu es prête pour l'enterrement de ta cher Nannerl et de son imbécile de mari.

Nous reprenions la voiture. J'avais organisé cet enterrement à la dernière minute. Nous n'étions que 2, et le prêtre. A, comme la vengeance à bon goût !

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Oui c'est un sadique ! Ce nouveau PDV, ça vous plaît ?

MOR Fanfiction - APRÈS SA MORTOù les histoires vivent. Découvrez maintenant