Septième chapitre:

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*PDV Constance Weber-Mozart*

Ma mère resta ébahis un moment puis partit, toujours étonné.
Aloycia resta avec moi et Nannrel ? Nannerl... Mozart arriva.

Elle: Vous allez bien, Constance ?

Aloycia lui expliqua se que j'avais fait, et pourquoi.

Mademoiselle Mozart: Je dois retourner à Salzbourg, c'est là-bas qu'est mon emploi.

Moi: Ne penser vous pas à vous marier ?

Elle: Si, quand mon deuil sera finit.

Moi: Quand, déjà ?

Elle: Dans un an, pour moi, car mon père est également mort.

Moi: Je suis tellement désolée pour vous...

Elle: Je repart donc à Salzbourg bientôt mais je reviendrai dès Noël prochain, afin de le fêter en votre compagnie.

Nous nous disons adieu et elle part. Aloycia aussi, l'idiot qui lui sers de mari l'a appelé.
Je reste donc seul.

*PDV Antonio Salieri*

Oh ! Incroyable... Je suis fiancé avec Constance... Weber. Plus Mozart, ni Weber pour longtemps. Constance Salieri...c'est étrange. Se n'est pas laid, seulement... Étrange. Je m'occuperai bien d'elle. Sa y est ! Dès que l'ont sera marier, j'aurais payer ma dette envers elle... Du moins je pense. Mais se ne sera pas pareil. Je lui est arraché son mari, certe, mais surtout l'homme qu'elle aimait. Bien que je comble le vide mari, il reste le vide amour. Se qui est parfois sensibilement différent.
Passons à un problème plus technique : la bague. Je lui en acheterais une jolie, en or, avec, éventuellement, un diamant.

J'y cours donc, chez le bijoutier, Quai des Orfèvres.

Moi, après les formalités : J'aurais besoin d'une bague de fiançailles.

Le bijoutier m'en montre plein, plus belle les unes que les autres. Laquelle choisir ?
Je me desside enfin pour une mignonne bague en or massif, avec une pierre précieuse dessus.

MOR Fanfiction - APRÈS SA MORTOù les histoires vivent. Découvrez maintenant