Trente-deuxième chapitre

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*PDV Constance Weber-Salieri*

Nous sommes arrivés chez Nannerl. On entre, et un domestique nous pries de patienter dans l'anti-chambre. Nous y restâmes un moment, avant que l'homme revienne et nous dise:

Le domestique : Suivez-moi. Madame Accepte de vous voir, madame, mais pas vous, Monsieur.

J'y allait en faisant la moue. Ça s'annonçait mal.

Nannerl, quand j'entre : Constance ! Alors, ce vieux fou est rester dans l'anti-chambre, hein !

Moi: Tu n'a pas ressu mon Télégramme ? Antonio à retrouver sa tête ! On est à nouveau ensemble !

Elle: Un Télégramme ? Non. Et comment ça, à nouveau ensemble ?! Ne me dit pas que ...?

Moi, m'approchant, car elle avait l'air de se sentir mal: Tu va bien ? Nannerl ?

Elle essaya de se rattraper au fauteuil, tâtonna derrière elle, alors qu'elle regardait de mon côté, les yeux dans le vague. Elle s'y ratrapait, s'assit et hurlait:

Elle: Pars ! Il a tué Wolfgang mais tu t'en fou ! N'est tu donc pas capable de refoulé cet amour malsain ?

Moi, me jetant à ses pieds: Non je n'en ai pas la force... Et je te demande pardon mais je l'aime !

Elle: Je n'ai jamais aimer. Dégage de chez moi. Pars !

Moi, murmurant, reculant : Pardon, pardon...

Je sortis. Je la comprenais. J'annonçais la mauvaise nouvelle à Anty, et il me pris dans ses bras, m'attirant contre lui. Il me frottis le dos et je me mis à pleurer sans bruit. Ma seule amie me détestais, et le pire, c'était que je ne pouvais pas lui en vouloir, j'avais trahis son frère. J'étais la fautive.
Je sais bien que c'est grandiloquent, mais ce sont les faits !
Plus tard, quand je fus un-peu calmer, nous partîmes. On allait à la voiture, quand nous en vimes une autre, garer à côté. Un homme en sortit. Jean.

MOR Fanfiction - APRÈS SA MORTOù les histoires vivent. Découvrez maintenant