*PDV Antonio Salieri*
Je vis Constance tressaillir.
Moi: Quelqu'un arrive ?
Constance: Non, mais j'ai froid. Et mal...
Moi, inquiet: Tu es blessé ?
Elle: Je ne sais pas ...
Moi je vais bien, j'étais "emprisonné" pendant presque tous le combat ! Mais Constance... Je n'y avais pas pensé...
Moi: Où as-tu mal ?
Elle: Quelqu'un m'a touchée au ventre, mais il n'ont pas chercher à me tuer, même après... La mort de leur camarade...
Moi: Ils n'étaient certainement pas ami,juste collègue. Bon, montre moi ça.
Je n'osait ajouter "Et Jean te veux en bon état.".
Elle déssera sont corsai et souleva le bas de son haut pour me montrer la blessure. Elle suintait encore. Le sang séché formait une croute, un peu plus bas sur son flanc... Je sortit un mouchoir de ma poche, et décidait d'aller chercher un-peu d'eau. Je ne voulais pas laissé Constance seul avec ses idées noires mais il était trop dangereux qu'elle sorte.
Je trouvais une flaque un-peu plus loin. J'imbibais mon mouchoir d'eau et retournais à la grotte. Je constatais avec soulagement que Constance ne pleurait pas: elle s'était endormi. Soupirant, je ramassait des branchages pour le feu et fermais l'ouverture de la grotte.
Je m'examinais minutieusement: pas une égratignure ! Et Constance... A pars la blessure qu'elle m'avait montrer, allait-elle bien ?
Je la réveillais en lavant la plaie qu'elle m'avait montrer . Elle cligna des yeux...Constance : Antonio ? Je suis fatiguée...
Moi : As-tu d'autre blessures ?
Elle: Oui, au bras et à la jambe.
Moi: Montre-moi.
Elle souleva sa manche jusqu'au coude, et je vis une petite plaie. Je la lavais et elle remontais sa manche à l'épaule: je fus frapper par une blessure dégoutante, dont le sang s'écoulait encore à flot...
Constance : On m'a tiré dessus pendant que tu te débattais pour t'enfuire... Heureusement, je ne crois pas que la balle soit resté dans mon bras : elle l'a juste traversé.
Moi: Comment fais-tu pour si bien tenir la douleur ?! Tu n'a pas crier...
Elle, hésitante:J'ai crier mais tu n'as pas entendu. Tu était trop occupé à te libérer... Et j'ai l'habitude...
Elle pleura quelque larmes mais se repris très vite.
Elle: Aujourd'hui, ça n'a plus d'importance.
Je la regardais, stupéfait. Pourquoi avait-elle "l'habitude" ?
Elle, séchant ses larmes: Tu veux bien me laver la blessure, s'il te plaît ?
Je m'empressai de le faire, et quand j'eus fini, elle me montra sa dernière plaie, qui semblait superficiel, à la jambe gauche. Je la nettoiais avec empressement et hésitait à lui parler de son "habitude"... Mais j'y renonçais: remacher le passé ne sert à rien, et cela lui aurais fait encore plus de mal...
Lorsque ceci fus fait, nous nous endormîmes, blottie l'un contre l'autre.________________
Promis, y aura plus d'actions dans le prochain chapitre ! Et encore un peu plus dans celui d'après ! Et dans le 47e, j'vous dit pas !
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MOR Fanfiction - APRÈS SA MORT
FanfictionPour comprendre cette histoire, il faut connaître Mozart l'Opéra Rock (c'est une comédie musicale datant de 2009). Si vous ne connaissez pas, vous aurez un peu de mal à suivre. Après la mort de Wolfgang, Constante se retrouve seule, sans emploi, et...