MOR Fanfiction - APRÈS SA MORT

Trente-cinquième chapitre :

*PDV Constance Weber-Salieri*

On m'avait couverts les yeux d'une étofe fine et sombre. J'avais perdu toute les notions élémentaire. Où était le nord ? Où était le sud ? J'aurais été incapable de le dire.

Quand nous arrivâmes, Jean me débenda les yeux. Je regardais autour de moi, la voiture d'Anty n'était pas là  Il descendi de la voiture. Quand il revient, une femme l'accompagnais.

La femme: Oh ! Voilà donc l'élue ! Venez jeune fille, vous avez quel âge ?

Moi, intimider: Trente ans.

Elle: Si jeune que ça !

Jean lui donna un coup de coude dans les côtes.

La femme: T'a quoi ?

Jean, la regardant d'un air énervé: Rien.

La femme: Bah alors ! Vous avez vu, Mam'zelle, i m'donne un cou et puis y a rien !

La femme ne venais sûrement pas de la grande société ! Elle m'entraîna vers le château - entre château imprenable du Moyen-Âge et château luxueux de la Renaissance Italienne.
Elle me fit passer par un dédale de couloirs lumineux et magnifique.

Elle: Ne vous inquiétez pas, vous ne serez jamais seul, quelqu'un vous guidera. Jean à tout rénover pour votre arrivée, mais ne lui dites pas que je vous l'ai dis, il serait furieux !

Super, il y aura toujours quelqu'un avec moi ! Comment m'échappé si je suis en permanence surveiller ?

Moi: Il vous a enlevé vous aussi ?

Elle: Oh ! Pauvre choute ! T'inquiète pas, il a fait pareil pour moi. Chuis sa sœur, et i savais que mon mari c'rais pas d'accord pour que je parte, alors il m'a "enlevé"! Mais je suis très heureuse ici !

Moi: Ça fait combien de temps ?

Elle: Pas un an. Neuf mois ? Peut-être moins. On perd un-peu toutes notion du temps, ici ! Mais globalement, c'est merveilleux !

Moi: On est combien ?

Elle: Cinq domestique par personne, plus les dix cuisiniers... Dans les gens important, y a Jean, moi-même, et Solène, une jeune fille mystérieuse de... Quatorze ans, il me semble. Elle passe ses journées dans sa chambre et elle achète de nombreux livres et cahiers. Des rumeurs disent qu'elle écrit ! Bizarre, hein ?

Moi: Qui est-ce, par rapport à Jean et vous ?

Elle: Aucune idées ! Quand je vous dis "mystérieuse"! À, nous y voilà !

Nous étions dans une chambre. Des murs de pierres, et un lit à baldaquin magnifique. Au milieu, une fenêtre, avec un rebord intérieur creuser dans la muraille. C'est là qu'on voit qu'elle fait près d'un mètre.

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Si vous connaissez "Le Château dans le ciel", de  Hayao Miyazaki, j'imagine la chambre de Constance comme celle de l'héroïne (Sheeta) quand elle est retenue prisonnière dans un château par Muska.

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Moi: Au fait, quel est vôtre nom ?

Elle: Chuis bête moi ! Marie. J'm'appele Marie. Et vous ?

Moi: Constance Weber-Salieri . Je porte mon nom de jeune fille a-coller à celui de mon mari.

Elle: À très bien... Votre quoi ?

Moi: Mon époux ! Qu'est ce que vous comprenez pas ?! Vous pensez que les gens normaux aiment à se faire enlevé ?!

Elle: Oh ma chérie ! Vous êtes marier ?! Mais vous aimez Jean, maintenant ! N'est-ce pas ?

Moi: Non je le déteste ! Il m'a enlevé, arracher d'un homme que j'aimais ! Je ne sais même pas où est mon mari !

Des larmes chaudes et silencieuses glicèrent de mes joues. J'étais ajenouiller, à terre. Le poid de toute la tristesse du monde semblait peser sur mes épaules.

Elle: Je vais vous aidez. Demain, je demanderais si on peux faire une balade à cheval, entre filles. Et je vais chercher votre mari. Je ferais en sorte qu'on se croisent. Et vous partirez !

Moi, en extase: Merci !

Elle: Bon, je viendrais vous chércher pour manger, et j'vous dirais si j'l'ai trouver. D'accord ?

Moi: Oui, d'accord.

Si elle ment, qu'ai-je à perdre ? Elle est ma seule chance.