MOR Fanfiction - APRÈS SA MORT

Cinquième chapitre:

*PDV Constance Weber-Mozart*

Que faire ? Aloycia à raison, je ne peux élever cet enfant seul.
Quel métier prendre ? Je n'ai aucun dont. Mon Wolfgang était un virtuose, c'est se qui nous ferait vivre. Mais Wolfgang était dépensier, je n'ai que très peu d'économies. Ma vie, un rêve, mon rêve, c'est soudain envoler. Je me suis réveillée. Mon rêve, c'était de vivre avec l'homme que j'aime, mais il est mort, et le rêve est fini.
Alors, avec qui me remarirais-je ? Que dis-je, je ne me remarirais pas ! Oh, bien-sûr, j'ai pensé au susside mais je porte le fils de Wolfgang, je ne peux pas sacrifier cet innocent enfant. Je ne peux pas sacrifier l'enfant de l'homme que j'aime.

VLAN !!!
Une porte s'ouvre à la volée: Da ponte surgie, sous les urlement du médecin:

Le médecin, énerver, criant: Monsieur ! Miss Weber à besoin  de repos ! N'ouvrez pas ainsi les portes...

Da ponte: Madame Weber-Mozart !

Moi: Da ponte, est-ce donc vous ?

Lui: Oui, madame, et je m'excuse milles fois de ne points être venu à l'enterrement de monsieur Mozart !

Moi, énerver: Vois êtes vraiment... Odieux! Mon époux est mort, Da ponte ! Mort, mort, mort !

Je vois bien qu'il s'en veut, que se mot lui fait du mal, mais je m'en fiche, je continue.

Lui, me saisissant par la manche, hurlant: Taisez-vous! Taisez-vous... 

Il prend son visage entre ses mains et s'arrache les cheveux.

Moi, gêner: Excusez-moi, monsieur.

Lui, relevant la tête: Se n'est rien, madame.

Moi: Appelez-moi Constance.

Lui: Bien, Constance. Je vous prierait donc de m'excuser. Adieu.

Moi: Attendez, Da ponte!

Lui: Oui?

Moi: Etes-te vous marier ?

Me rendant soudain conte de mes propres paroles, mes joues deviennes d'un rouge éclatant.

Moi, rougissante: Désolé, je n'aurais pas dû...

Lui: Je sais tout: madame votre soeur, Aloycia, me l'as appris récemment. Vous devez, en effet, vous remariez, mais pas avec moi: je n'est point les moyens. Quelqu'un de riche, de puissants... Réfléchissez. Je repasserai bientôt.

Moi: Au-revoir, monsieur Da ponte, c'était un plaisir.

Da ponte partit alors.

*PDV Antonio Salieri*

Je suis de retour chez moi, à présent. Madame Constance Weber... ou Mozart, comment dois-je dire ?
Bref, Constance est chez un médecin, celui même chez qui je l'ai déposé. Je l'ai payé, sachant que Miss Weber-Mozart n'en aurais pas vraiment les moyens.

J'ai commencé à me racheter au-près de Constance, mais je crois que je n'aurais jamais fini, tant que je ne lui aurait pas trouver un mari. Qui ? Da ponte, l'ami de M. Mozart ? Non, pas vraiment assez riche. Qui alors? Une conessance de Miss Weber, de préférence.
Une idée traversa alors mon esprit embrumé: et si JE me remariais avec Constance Weber-Mozart ?