Vingt-neuvième chapitre:

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*PDV Antonio Salieri*

Deux mois après.

Sa fait deux moi. J'ai réessayé, mais sa ne marche pas. Je n'ai plus de réson de vivre. Je vais donc mourir. Je fais les préparatifs... Mais là, j'entends des bruits de pas, au premier. Vite, il faut que je monte, que je passe la corde autour de mon cou et que je fasse tombé l'escabeau. Vous me direz que je manque d'inspiration, que c'est la deuxième fois... Je m'en fou, j'vais mourir ! Alors fermée la, gens imaginaires !
J'accomplis toutes ses besogne très facilement et rapidement, mais au moment où j'étais suspendu dans le vide, au moment où la vie allait s'échapper de mon corps, un instant avant que je rende le dernier soupir, je poussais un cri.
Pourquoi ? Pourquoi as-t-il fallu que je cri ! Je me déteste.
Miss Leila (la pauvre!) est arrivé en courant, et à du imiter Constance. Elle pris mes jambes et me soulevais. Puis elle appela sûrement quelqu'un, mais je n'entendais rien: cette fois, j'avais frollé la mort de plus près. De très près.
Une vingtaine de minutes plus tard, je dormais dans un lit, bordé de tout pars.

*PDV Constance Weber-Salieri*

Quelque jours plus tard.

Je viens de l'apprendre ! Anty à essayer pour la seconde fois de se tué ! Est-il sauvé ? Personne ne le sait vraiment. Peut-être qu'il va ... Peut-être qu'il va mourir. Les médecins eux-mêmes ne sont sur de rien. Il est entre la vie et la mort. J'ai envie de pleuré, de hurlé, je... JE L'AIME ! Mais pourquoi faut-il que je l'aime ?!!! Je pleure, je hurle. Pourquoi ? Pourquoi ?
Quand ma crise de larmes fut passer, je conclu: je l'aime, et c'est tout. C'est tout. Je ne peux rien y faire j'ai besoin de lui.
Je laisse un mot à Nannerl, que je pose sur le manteau de la cheminée. Je pars, sans bagages: juste ce que j'ai, et de l'argent.

Plus tard.

J'y suis ! Je suis chez moi. Je monte les marche quatre à quatre. Il est là, dans sa chambre.
Quand, il me vois, il se redresse, mais il est très faible.

Antonio: Constance !

Il crache un peu de sans sur ses draps blanc. Je m'approche.

Moi: Ne parle pas. Puis, après un blanc: Je t'aime.

Et je l'embrassais comme jamais je n'avais embrasser quelqu'un dans ma vie.

MOR Fanfiction - APRÈS SA MORTOù les histoires vivent. Découvrez maintenant