Quarante-deuxièmes chapitre

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*PDV Antonio Salieri*

Constance avais pris le couteau de l'homme qui la retenait, un instant au paravent. Elle s'en servis pour... Le poignarder. Elle le lui enfonça en plein cœur, du côté gauche de la poitrine... Avait-elle fais exprès de le tué ? Non ! Je suis sûr que non...
Et je le suis d'autant plus maintenant qu'elle me regarde, les larmes aux yeux, le couteau tombant de ses mains.

Moi, hurlant: Constance ! Ressésis toi ou nous sommes morts !

Mes paroles l'attindirent visiblement, car elle repris le couteau, et transperça les bras et les jambes des hommes qui s'attaquait à elle de tous côtés... Elle ne visait plus la poitrine et je remarquais qu'elle pleurait... Elle n'avais jamais tué avant, compris-je.
Les assayant diminuait : elle en avait tué un, bléssé quatres autres sur les neuf qui nous affrontaient. Je lui avais dis quand l'un d'eux s'approchaient. Mais il restait l'homme qui me tenait, le "lieutenant", et deux  homme arriver après les faux policier.
Le lieutenant - mais l'était il vraiment ? - s'approcha de Constance par derrière.

Moi: Attention !

Elle se retourna,  lui donna un coup de couteau dans la jambes et il fuis, clodiquant. Elle ne tenta pas de l'arrêter. Elle était bien trop occupé à se défendre contre les trois restants. Je devais l'aider. Je mordis, comme elle l'avais fait, l'homme qui me tenait, et lui pris sa dague. Je le bléssait au bras et à la jambe: je sais me battre, bien que je sois plus habitué à l'épée, qui est plus noble que la dague. Mais je me débrouillerai, il le faut. Le pleutre s'enfuie, et je me retournais pour voir ce que faisait Constance. Elle en avait mis un à terre mais les autres se relevais et un tenait encore debout. Trois des hommes qui se relevais avaient fuis, mais le dernier restait là, à aider l'autre.
Ils n'étaient plus que deux sur le champ de bataille : leur ami gisait à côté...
Je réussi sans peine à faire déguerpir le bléssé, et Constance et moi nous consentrâmes sur le dernier: les autres étaient incompétent: lui restait, tenace, et semblait imbattable. Il n'avais pas même été bléssé. Soudain, la voiture se mit en mouvement : les hommes de Jean partaient...

Nous nous bations contre l'inconnu, Constance tentant de le bléssé, moi, essayant de l'embroché sur une dague, quand je l'eus enfin. Je l'avais bléssé au ventre, peut-être allait-il mourir...

Mais pas le temps d'avoir des états d'âmes: nous fuîmes vers la fôret.

Constance, me criant, s'arrêtant: Je connais cet endroit ! C'est par ici qu'on a trouver la grotte où l'on c'est cacher lorsque nous étions poursuivis par Jean !

Moi: Tu es sûr ?

Elle: Oui!

Moi: Cela signifie que nous sommes près de chez lui!

Elle: ... Mais aussi que la grotte est là !

Nous la cherchâmes pendant une heure environ. Quand nous la trouvâmes enfin, nous fîmes comme la dernière fois. Une fois dans le noir complet, et lorsque nous eumes repris notre souffle, je dis à Constance:

Moi: Ils ont du tué le lieutenant, les policier, les domestiques et le cocher hier... Ils les ont remplacer par eux-mêmes​! Les hommes de Jeans... Et le tueur de l'inspecteur devais être l'homme qui nous a opposé la plus farouche résistance.

Constance, distraitement, laissant tombé sa tête sur mon épaule: Hum, sûrement...

Moi: Tu vas bien ?

Elle: Il va falloir racheter toute la garde-robe...

Moi: Constance ! Ne me dis pas que tu t'inquiète pour ça ! Ce serons les domestiques qui s'en chargerons ...

Elle, se redressant: Bien-sûr que non ! Non, je ne m'inquiète pas pour ça ! ...

Un sanglot se fit entendre. Je me levais et la pris dans mes bras.

Moi: Où as-tu mal ?

Elle, murmurant: Partout...

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J'aurais pu continuer le chapitre et m'arrêter à un moment avec plus de suspens mais ce chapitre est déjà long... J'éspère qu'il vous plaît et je pense qu'il a beaucoup d'action et (un-)peu de romantisme... Comme on me l'a demander !

A et  désolé pour le titre du dernier chapitre (pas celui-là, celui d'avant) normalement c'est "Quarante-et-unième chapitre"... J'ai fais une faute de frappe !

MOR Fanfiction - APRÈS SA MORTOù les histoires vivent. Découvrez maintenant