Sexième chapitre

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*PDV Antonio Salieri*

Je m'occupais de Jean, quand j'entendis un cris. Il venait de... Mais c'est... Ça vient de la chambre de Constance ! Jean aurait il un complice ? Je le regarde. Il a la lèvre inférieure en sang, il est PLEIN de SANG ! Et c'est... C'est MOI qui est fait ça ! Il a un œil au beurre noir, du sang au niveau des tempes, il est vraiment dans un salle état. Comment ai-je pu faire une chose pareille ? Oui, un homme est mort par ma faute, mais je ne l'avais pas tué de mes mains. Il n'y avait pas de sang. Il ne m'a pas vu le tué.
C'était différent.
Je cours vers la chambre de ma femme. Je la trouve évanouie sur le sol. Elle a du glisser du lit, car il est tout défet. Je la retourne sur le dos. Elle n'a aucune marques, aucune blessure. Elle va bien. Je souffle.

Moi: Ouf !

J'ai réveiller Constance.

Constance : Antonio, c'est toi .

Moi: Oui...

Je ne sais pas quoi ajouter, quoi faire.

Moi: Que c'est il passé ?

Constance : J'ai entendu des cris, je... Ça m'a effrayée. J'ai cru que vous alliez devenir un assassin par MA faute !

Sa voix se brisa comme un verre de cristal séré trop fort par un fêtard.

Moi: Cela n'aurais pas été VOTRE faute, mais celle de ce Jean !

Constance ne répondis pas.

Moi: Allongez-vous.

Elle: Antonio, vous avez dit que se n'aurais pas été de ma  faute.

Moi: En effet.

Elle: Vous ne l'avez pas tué ?

Moi: Non. Je ne l'ai pas tué.

Elle se mit à pleurer.

Moi: Constance ! C'était bien votre souhait, n'est-ce pas ?

Elle: Ce sont des larmes de joie.

Je ne comprends rien aux femmes !

*PDV Constance Weber-Salieri*

Ouf ! J'étais tellement soulagée ! En plus, si Jean à un-peu de jujote, il c'est enfuis pendant qu'Anty venait à mon secours.

Ma vie allait peut-être enfin redevenir normal. Peut-être aurais-je même le temps de chercher l'assassin de Wolfi. Ce serait parfait. Peut-être un peu trop parfait pour être vrai. Mais on verra !

MOR Fanfiction - APRÈS SA MORTOù les histoires vivent. Découvrez maintenant