Chapitre vingt-et-un:

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*PDV Antonio Salieri*

Je ne me contrôlais plus. Les insultes sortais par flot de ma bouche. J'avais passer une semaine à la chercher, devenant de plus en plus fou, sans elle. Je l'aime ! Elle va rentrer, maintenant, et me donner les plus beaux enfants du monde. Oui, je veux qu'on ai des enfants, à nous. Je ne veux pas de son Wolfi ! Je veux un gosse à moi, et à elle.

Je deviens fou. Fou de douleur, fou d'amour. Mais n'y a t il que cela ?

Elle: Tu m'a traiter de prostituées... Tu à oser ! Jamais je ne reviendrai avec toi ! Jamais ! Pour tout l'or du monde, non ! Tu ne peux être le père de cet enfant, il mérite mieux !

Moi: Alors c'est à lui que je dois cet échec.

Je me précipite sur le landeau, prend le fils de Wolfgang Mozart, et le jete au sol.

Constance, pleurant: Anty...

Moi: Maintenant, tu m'offrira des enfants.

Elle: Ce que tu viens de jeter... Ce ne sont que des draps.

Je vérifiai. En effet, ce n'était que des draps. Je poussais un grognement de rage.

Moi: Alors pourquoi pleure-tu ?

Elle: Tu en aurais été capable...

Moi: Oui, j'en suis capable ! Et si tu tiens à ton enfant, viens avec moi. Si tu reviens, je te jure que je ne lui ferait pas de mal.

Elle: Promesse d'un fou... Ta parole ne vos rien !

Furieux, je me jetais sur elle. J'otais son corsai.

Moi: Constance j'ai besoin de toi !

Elle: Au secours !

Je l'embrassais.

Moi, entre mes dents: Ne cri pas.

Elle: Laisse moi ! Si tu me laisse je viendrai !

Je la laisse. Elle a la lèvre supérieure en sang, et sa poitrine est nue. Que lui est-il arrivé ? Elle pleure, j'essaie de la prendre dans mes bras, pour la consoler, mais elle me repousse. Pourquoi ? Qu'est-je fais ?

Nannerl arrive.

Nannerl : Oh mon dieu !

Son premier geste fut un coup qu'elle me donna dans le ventre.
J'étais à terre.

*PDV Constance Weber-Salieri*

Nannerl m'aida. On partit dans sa chambre.
Et puis, je ne me souviens plus très bien... Ce qui est sur,  c'est que je me réveillais dans un bon lit. Dans mon lit. Chez moi. Non, il ne m'aurait pas ramener chez Anty !

Il entrait justement dans ma chambre.

Moi: Que fais-je ici ?

Lui: Ne t'inquiète pas, ils ne te ratraperons pas.

Moi: Tu m'a enlever !

Lui: J'ai assomé cette Nannerl, et je t'ai ramener ici. Quand je suis entré, l'autre jour, tu étais a-moitier nue... Pourquoi ?

Moi: Mais Antonio ! C'est toi qui...

Lui: Constance, tu deviens folle. Qui t'a fais ça ?

Moi : Où est Wolfi ?

Lui, s'asseyant sur le lit, près de moi: Ton mari est mort, chérie.

Moi: Mais non, je parle de mon fils !

Lui, clignant des yeux : Ton fils ? Quel fils ? Mais voyons chérie, nous n'avons pas d'enfant ! A moins que tu m'ai trompé ?

Moi: Comment peux-tu pensé ça de moi, mon amour.

Il est complètement taré ! Fou ! J'ai peur.

Lui: Mais on en aura, promis, on aura des enfants.

Il m'embrasse sur le front, et il sortis.
Où est Wolfi ?

MOR Fanfiction - APRÈS SA MORTOù les histoires vivent. Découvrez maintenant