Vingt-deuxième chapitre :

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*PDV Antonio Salieri*

Flash back.

Je sésit une statuette (qui avais certainement beaucoup de valeur) et m'en servais pour assomé Nannerl et Constance.

Moi, chuchotant : Excuse-moi mon amour.

Je ne pouvais la laisser ici. Quelqu'un l'avait a-moitier déshabiller. Qui ?
Bon, je la rhabillais et la cachais sous un meuble le temps de m'occuper de son enfant. 
Quand je l'eu trouver, je ne su que faire. Je n'allais pas le tué, c'était le fils de Constance. Alors ? Je fais quoi ?
Rien. Je ne fit rien.
J'emmènais Constance chez nous, et l'instalais dans son lit. Je déposait un baiser sur son front.

Moi, murmurant: Dors, mon ange.

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NDA: ^^

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*PDV Constance Weber-Salieri*

Retour dans le présent.

Ou est Wolfi ?
Je me levais, et partis sur la pointe des pieds dans la chambre d'Agathe. Tout était ranger. Personne.
Je fouillais la maison : personne. Anty me repéra, quand j'étais en train de vérifier le petit salon.

Antonio : Constance ! Tu dois restez au lit !

Moi: Antonio, où est Agathe ?

Lui: J'ai lissenssier le personnel. On est que tout les deux, maintenant. Tu est contente ?

Moi: Oui. Ravit. Mais où est Wolfi ?

Lui, me prenant dans ses bras: Il n'y a pas de Wolfi. Tous ça c'est dans ta tête chérie.

Je me laissais faire. La chaleur de ses bras autour de moi était appréciable. Je fermais les yeux. J'étais bien. Mais il fallait me réveiller, Antonio était fou.  Ou peut-être était-ce moi. Moi la folle. Peut-être que Wolfi n'existait pas vraiment. Je ne sais plus.
Il me raccompagna dans ma chambre, me bersent.

Lui:   Ma chérie,
C'est endormi,
Tous contre moi,
Dans mes bras.

Mon amour,
Dans sa robe de velours,
Belle comme une marier,
C'est élancer...

Élancer dans le sommeil,
Au soleil,
Dans mes bras,
Tous contre moi...

Ça voix était douce. Il m'aimais. Je l'aimais... Ou non. Je ne sais plus. En tout cas, là, j'étais bien.
Dans ces bras,
tous contre lui,
je me suis endormis...

Je ne fini pas mon vers. Il me fallait un mot qui rime avec bras, mais je ne trouvais pas.

*PDV Antonio Salieri*

Cette chanson, c'était de l'impro.

Pour calmer
ma chérie,
mon amie,
Je l'ai pris...

Je l'ai pris,
Dans mes bras,
Tout contre moi,
Elle c'est endormi.

Dans mes bras...

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La chansonnette est un-peu nul, mais marrante, je trouve. Et je tien a préciser que c'est de l'impro. C'est moi qui l'ai inventé.
Chapitres assez spécial, hein ? L'atmosphère est lourde.
"Dors, mon ange"

MOR Fanfiction - APRÈS SA MORTOù les histoires vivent. Découvrez maintenant