Trente-sixième chapitre :

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*PDV Constance Weber-Salieri*

Le lendemain.

Heureusement que mon bébé est restée à Vienne, avec Agathe qui lui procure de bon soins.
Notre évasions est prévus pour quinze heure. D'ailleurs, il est quinze heure, et Marie vient me chercher.

Plus tard.

Marie: Partez ! Vite !

Nous éprenons nos cheveux et ils se mirent à courir.

Moi, pars dessus mon épaule: Merci Marie !

Elle: Dépéchez vous !

Nous nous dépéchons si bien et enfonçons si fort nos éperons dans les ventre de nos chevaux qu'ils commencent à saigner. De plus, ils suffira à Jean et ses hommes de suivre les trace de sabots pour nous trouvez. Nous libérons donc les pauvres bêtes, et continuions à pieds. Mais nous n'avions pas couru vingt minutes qu'Antonio tombait à genoux à terre. Il se mit à cracher du sang, les points sérrés.

Lui, faiblement : Constance... Je ne peux pas continuer j'en suis incapable.

Je regardais autour de moi. Il y avait une sorte d'énorme rocher de plusieurs mètre. En en faisant le tour, je remarquais des buissons et... Un trou, dans le roque. Je m'élançais vers le trou et, écartant les buissons, me rendis conte qu'il était en réalité beaucoup plus grand que ce que l'on voyait de l'extérieur et qu'il débouchais sur ... Sur une grotte ! Nous sommes sauver !  Je montrais l'ouverture a Antonio, et l'aida à marcher les quelques mètres qui nous en séparais. Malgré mon aide, il tomba plus d'une fois et se fit d'affreuse plaits aux genoux et aux mains.
Je l'installais dans la petite grotte, et m'en allais chercher des branches pour cacher l'entrée de la grotte. Quand se fut fait, je reviens vers Anty.

Moi, avec beaucoup de douceur: Antonio ?

Lui: Constance...

Je m'assaillais près de lui et, voyant une plaits sanglante sur sa main, je déchirais un morceau de ma chemise et lavais la plaît. Mais cela ne suffisait pas, et nous n'avions pas d'eau, j'uméctais donc le tissu d'un-peu de salive. Il révéla que sous le sang qui avait coulé ne se cachait pas une petite entaille, un véritable gouffre creusais cette belle main fine de musicien.

Moi: Antonio ?

Antonio: Oui ?

Moi, pleurant un-peu : Ta main...

Antonio, regardant sa main: Pourrais-je rejouer un jour ?

Je m'assit à côtes de lui.

Moi: Je pense. Je ne sais pas...

Lui: Tu sais soigner une plaît ?

Moi: Oui, mais à condition d'avoir un minimum de matériel. Désolé... Même Lily n'en aurai pas été capable...

Lui: Lily ? Qui est-ce ?

Moi: Ça va prendre un peu de temps à expliquer...

Lui: Peu importe. On en a du temps. Raconte moi.

Moi, ésitante: J'ai eu... J'ai eu... Euh, pas mal d'amants...

Lui: Combien ?

Moi: Avant mon premier mariage, euh... Un-peu moins d'une dizaine.

Lui, d'un air démoralisée, ironique : Ah, seulement...

Moi, lui prenant les mains, riant : Tu n'a pas de quoi être jaloux, c'est du passer. Des amourettes.

Lui: Hum... Revenons en a Lily.

Moi: Eh bien, voilà, l'un de mes amants, avec qui je venais de rompre, à commencer à devenir violant. Il a hurler, ma menacer, et j'ai pris peur. Je me suis donc enfuis seul dans la forêt. J'y est rencontrer une jeune fille de vingt ans peut-être, qui y vivait depuis longtemps.
Elle me confia qu'elle c'était échappé de la vie de servitude, en temps que femme d'un marquis d'un âge avancer, qu'on prétendais vouloir lui faire mener. Je lui racontais mon histoire, et elle me conduisi jusqu'à une petite cabane -sa petite cabane.
"Tu peux rester tant que tu veux !" Me dit-elle.
Mais j'étais toute ensanglanté, elle utilisait donc sur moi le pouvoir des plantes, comme elle dit. Elle était exceptionnel. Elle aurait sûrement fais un excellant médecin.

Lui: Cette fille, c'était Lily n'est-ce pas ?

Moi: Oui.

Lui: Et tu est revenu chez toi quand ? Que lui est-il arrivé ? L'as-tu revu ?

Moi: Je suis revenu quelque jours -ou semaine, je ne sais plus- plus tard. L'homme était partie. Mais je ne sais pas ce qui est arrivé à Lily. Je l'ai cherché, mais je n'ai pas retrouvé le chemin de sa cabane. Il faut dire qu'avec un sens de l'orientation comme le mien, il est déjà miraculeux que je ne me sois pas perdu.

À ce moment, nous commençâmes à entendre des bruit de chevaux.

Jean: Une prime à celui qui me ramène la fille intacte !

Autre voix: Et l'homme ?

Jean : Quand vous les trouverez, vous lui trancherez la gorge en obligeant la femme a regardé. Et vous m'amenerez le corps, et la vivante. Et quand je dis "vivante", je ne veux pas qu'elle est la moindre égratignure !

Autre voix : C'est quoi cette prime ?

Jean, d'un air sadique (je pense, car je ne le voyais pas, mais quand il a la voix qui pars ainsi dans les aigus, il prend souvent un air sadique) : Vous verrez.

Ils se mirent au travail avec ardeur. Je n'avais pas peur pour moi. Pas beaucoup. Mais j'ai peur pour Wolfgang et Anty. Il ne faut pas qu'ils nous trouve ! J'ai peur, dieu que j'ai peur !
Nous restâmes là, sans un mot, réspirant a peine. De temps en temps, Antonio crachais un-peu de sang, et la peur devenait insupportable. Les voix se rapprochais, les hommes cherchais.
Au bout de deux heures, quand les voix se furent tout à fait assoupis, nous pûment enfin parler.

Antonio : Dormons.

Moi: D'accord.

Je me blottis encore un-peu plus dans ses bras. Il me bersa, et je m'endormis​.  Longtemps je me dirais que s'aurait été à moi de le berser. C'était lui le malade.

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Nul comme phrase de fin de chapitre, hein ? XD

MOR Fanfiction - APRÈS SA MORTOù les histoires vivent. Découvrez maintenant