MOR Fanfiction - APRÈS SA MORT

Vingt-sixième chapitre :

*PDV Constance Weber-Salieri*

Il avais l'air étonnement sinsère... Mais il ne l'était pas. Non, chasse cette pensée de ta tête, Constance. Que t'aurait-il fait si Nannerl n'était pas intervenu? Il aurait tué ton enfant si il n'avait pas été ailleurs.
Je le laissai donc se tordre de douleur sur le sol. Si il mourais, se serais pratique.

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NDA: Cette histoire deviens un-peu dark... Même plus...  Carrément black !
Mais non, je vous rassure, Constance va pas tué Antonio... Enfin, pas pour l'instant.
Hin hin hin ! (Rire de petit lutin-démon sadique.)
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*PDV Antonio Salieri*

C'était un-peu comme si l'on extrayais un poison de mon corps. Ah ! Oh... Sa faisait si mal...

Moi, faiblement: Constance...

Elle, grognant: Je vais t'aider. Tu fais trop pitier.

Ouf ! J'étais tiré d'affaire. Constance s'approcha de moi et... Me donna des coup de pieds dans les côtes.

Elle, sauvagement, énervé: Salaud ! Je vais t'aider à mourir, dans ma grande bonté !

Je crois que je ne suis pas le seul à être fou ! D'un coup, Constance sessa de frappé. J'entendis un bruit de verre briser et un "Glong !!!" Sonore.

Voix: À Salieri vous aller bien !

Moi, soupirant: Oui, Monsieur l'intendant Rosenberg.

Rosenberg : Eh bien, y a de meilleur façon d'être reçu ! Je viens de vous sauver de cette furie, Salieri, ne l'oubliez pas !

Moi: Non, non... Enfin, merci Rosenberg. Mais ce n'est pas une furie, c'est Constance.

Lui: À bah si, c'est se que je disais, c'est une furie. (Rires)

Moi, de ma voix la plus redoutable: Pardon ?

Lui, intimidé, couinant comme une souris enrhumé : Rien, rien.

Moi: Mouais. Bon, pourquoi étiez-vous là ?

Lui: Pour vous voir. l'Empereur est furieux ! Vous ne venez plus au travail depuis, pfou... Deux mois !

Moi: Deux moi ?!

Lui: C'est moi qui l'ai dis ! Puis, murmurant : Copiteur...

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NDA: Copiteur: copieur, déformation utilisé le plus généralement par des enfants de moins de sept ans.
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Moi: Bon, je m'excuserais au près de son Altesse dès ce soir.

Lui: À non ! Pas ce soir, maintenant ! Vous v'nez avec moi !

Moi: Non, ce soir, j'ai dis !

Lui: Bah alors au plaisir, hein !

Moi: À ce soir.

Il partit, et je réveillais Constance.

Moi: Ma chérie,
Endormi,
Fut réveiller,
Arraché
du someil,
Joyeux réveille,

Par son mari,
Anty,
Qui l'adorais,
Qu'elle aimais...

Des larmes glissaient de mes joue, sur son visage. Cela la réveillais.

Moi: Constance je te jure que je ne me souviens plus de ce qui c'est passé depuis ton départ !

Elle m'observa.

Elle: Je sais.

Elle m'embrassa. La chaleur de ce baiser... Cela me réchauffait, me réconfortait... M'amait-elle à nouveau ? Pourrai-t-elle me pardonner ce que je ne savais pas avoir fait ? Je l'espère.

Elle: Je lis à nouveau en toi comme dans un livre ouvert. Ça ne trompe pas. Mais Antonio, tu l'a tué.

*PDV Constance Weber-Salieri*

J'allais faire d'une pierre deux coups : si il disait vrai, je me rachetais pour les coup que je lui avais donner,
Si il mentais, il n'accepterais pas que je parte, et je saurai tout.

Moi: Antonio... Hum, après ce que tu a fait à Wolfi... Je te demande de me laisser partir.

Lui: Qu'il en soit ainsi. Je ne supporte pas de te faire du mal. Je ne supportais pas que tu me déteste.

Moi: Merci, Antonio. Merci. Puis-je emmener...

Lui: Bien-sûr, tu peux le prendre. C'est ton fils.

Moi: Milles merci !

Lui: De rien. Tien.

Je lui tendit une liasse de billets. Il y avait pour deux  mille euro, dans ces bouts de papier.
Elle me sauta au coup, ravie, mais... Elle se méfiait encore, sa se voyait.