MOR Fanfiction - APRÈS SA MORT

Quarante-et-une unième chapitre

*PDV Constance Weber-Salieri*

Le lendemain.

Je fis en vitesses les malles, ne prenant que le minimum: des habit pour quinze jours. Car les recherches dureront peut-être longtemps...
Antonio rajouta quelques petites choses et à quatorze heures, quand la police vient nous chercher pour commencer l'enquête, nous étions près depuis longtemps.
Je dis au-revoir à Wolfgang et ordonnait au valet de monter nos bagages dans le carrosse de l'inspecteur.
Nous le suivions dans la voiture et nous y asseyons.

Le voyage commença agréablement : nous savions où aller: chez Nannerl.

Mais le lendemain du départ, nous roulions depuis une heure quand un coup de feu retenti: nous tournions la tête dans la direction d'où il était parti... Les feuillages s'agitait doucement, et l'on entendait encore des bruits de sabots.
Soudain, je vis du sang sur ma robe: pourtant, je n'avais pas été bléssé... Un corps tomba alors sur moi: c'était l'inspecteur de police.
Il était blessé... Mort ? Nous ordonâmes au cocher de faire halte.

Moi: Arrêter vous ! Monsieur L'inspecteur est blessé !

Il s'arrêtèrent et l'un des domestiques entra dans le carrosse.
La voiture qui nous suivait (celle avec les autres policier) s'arrêta également.
Nous explicâmes au lieutenant qu'on avait tiré des faussés, sur l'inspecteur.
Il pris son poux et déclara:

Le lieutenant : Il est mort.

Non! Au non... Jean avait du engager un tueur... Et maintenant ? Le lieutenant est-il suffisant haut-placer et capable pour mener l'enquête ? Jusque chez Nannerl au moins, il faudra qu'il s'en charge...

Le lieutenant, souriant : Désolé Monsieur, désolé Madame, nous n'irons pas plus loin.

Il claqua des doigts, et aussitôt, un groupe d'hommes armé jusqu'au dents sortirent de la seconde voiture .
Antonio et moi nous regardâmes, paniquer.
Je donnais un énergique coup de pied dans l'autre portière et sortit, suivis de près par mon mari.
Mais je savais que c'était inutile : nous étions pris au piège: ils étaient bien plus nombreux que nous.
Nous fumes attraper par des hommes de l'autre côté de la voiture, mais je mordis jusqu'au sang celui qui me tenait, et lui pris le couteau qu'il venait de lâcher pour le retourner contre lui.

C'est alors que survient le drame: je tuais pour la première fois...

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Alors ? A priori, un chapitre comme les autres, mais en réalité...

Sinon, excuser mon absence, je n'ai pas allumer ma tablette pendant près d'une semaine...

A bientôt pour le prochain chapitre !