*PDV Constance Weber-Salieri*
Trois mois après.
Maintenant, je refais ma vie, à Salzbourg, avec Nannerl. J'ai trouvé un emploi comme couturière dans un grand magasin.
Wolfgang à cinq mois. Comme il grandit vite, mon bébé !
Antonio m'envoie des lettres, chaque semaine, mais moi, je lui réponds une fois par mois seulement, pour lui dire que je vais bien, que Wolfi et Nannerl aussi, même si il s'en fiche.
D'ailleurs, quand on parle de Nannerl, elle va se marier le mois prochain. Cela fais... Six mois. Six mois que Wolfgang... Que Wolfi... Est mort.
Da ponte. Lorenzo, Da ponte. C'est ce qu'avait dit Wolfgang père la première fois qu'il l'avait vu. Je le revois, à présent. Depuis que je me suis éloigné d'Antonio, il consent à me parler. Non, j'exagère, avant aussi... Mais maintenant, il vient me voir une fois par mois.
Je crois que c'est tout.
Ah, oui ! Maman et Alo' sont venu. Ma mère se lamente que j'ai pas de chance avec les hommes... Aloycia, elle, s'excuse de m'avoir conseiller de me marier à Antonio, mais je ne lui en veux pas. Elle ne savait pas.Bref, la vie se poursuit ! Mais sans Anty. Après tout ce qu'il m'a fait... Je ne peux pas lui pardonner. Il a tué Wolfgang ! Et ça, aucune folie ne peux l'excusé, il avait toute sa tête quand il a fait ça.
Après, ces autres erreurs sont plus pardonnable : il était fou quand il les a commises.
Il n'empêche qu'il a essayé de tué Wolfgang junior et de me violée. Il m'a même kidnappé et à assomé Nannerl.
Mais ça, c'est oublié. Je ne sais pas se qui l'a pris ! Qui aurait pu... ? Qui aurait pu le rendre à ce point fou ? Moi ? Non ! C'est pas possible, mais alors ? Quelqu'un l'aurait empoisonné à l'aide d'une substance qui rend fou. Mais qui ?
Oh mon dieu ! Oui, je sais ! Ce doit être Jean ! Mais n'aurait-il pas voulu se venger directement sur moi ?
Toutes ces interrogations... Je ne sais pas si j'ai réson ou tord.*PDV Antonio Salieri*
Chaque jour depuis ton départ, tu me manques. Chaque jour, je pleure. Si je n'avais pas tué Wolfgang père... Au début, je me suis dit: "Si j'avais une machine à remonter le temps, je ferai en sorte de ne pas tué Wolfgang Mozart." Mais en réfléchissant, je me suis rendu compte que si il n'était pas mort... Oh, c'est horrible, mais si il n'était pas mort, Constance et moi... Serions-nous devenu amands ? Je ne pense pas. Nous serions ennemis, car si je suis ennemis de son mari, je suis aussi le sien, forcément.
Bref, sans sa mort, je ne serais pas tomber amoureux d'elle. C'est affreux mais peut-être que s'aurait été mieux. Oui, s'aurait été mieux ainsi.
Notre histoire était basé sur un mensonge, et sur un meurtre.
Mais ce n'est pas ainsi, Constance, et j'ai besoin de toi ! Besoin... Je ne peux pas vivre sans toi. Si tu refuse de revenir, d'ici à... Dans neuf mois, si tu refuse de revenir, je meure. Je me suicide, et tu ne sera pas là pour l'empêcher, cette fois. Dans sept mois, je te ferais une demande.
Dans ma tête, je m'imagine déjà la scène :
J'entre. Tu est la, magnifique, dans une fine robe d'intérieur blanche et bleu. Nous sommes dans une serre, dans un de ces petits jardin d'intérieur.
"Constance ?
- Oh Anty, je ne t'avais pas vu !
- Reviens. Mon amour, tu es la femme de ma vie, reviens.
- Oui Anty ! J'en rêve depuis que je t'ai quitter. Je me suis rendu compte que je t'aime."
Et elle me sautait au cou, m'embrassant... Quand nous nous décollions, je l'avais soulever au-dessus de moi, nos regards se croisèrent.
Ils restèrent croiser longtemps.Ça, c'est l'hipotèse romantique. Certainement pas la plus réaliste...
Elle lisait dans un sofa, telle une reine. Elle était magnifique. Encore plus belle qu'autrefois. Ses yeux plus sombre, ses cheveux plus claires, cour. Cour ! Je n'étais pas habitué. Elle portais une robe à l'opposé de celle de la dernière fois. Rouge sang, pleine de parures dorées. Devant, l'habit avait un grand décolter plongeant, et derrière, un dos nu presque jusqu'aux fesses.
Quand j'entrais, elle me snobais, ne m'accordant pas un regard. Je me raclais la gorge et elle dainiais me regarder.
Quand elle voyais que s'était moi, elle se levais d'un bon:
"Sale violeur !
- Constance...
- Non !
- Constance je t'aime !
- Emmenez-le."disait-elle à un garde, qui me trainais or de la maison, que dis-je, du palais magnifique où elle vivait.
Chose étrange, ce n'était pas chez Nannerl Mozart. Mais alors, ou vivait-elle ? Je vit un homme richement vétu.
"Excusez, Monsieur, où sommes nous ? Demandais-je
- Mais voyons, vous êtes ici chez moi ! Je me présente, Charles Henri de La Rosière. Connaissez-vous ma femme, Constance, une vraie déesse de beauté ?
- Constance ? Constance Weber-Salieri ?
- Ah ah ! Vous êtes un vieil ami, vous ! Elle s'appelle désormais Constance de La Rosière !
- Ah...
- Tenez, je vais vous la présenter. Si je puis dire...
- Vous pouvez, cela fait si longtemps..."
Il me conduisait jusqu'à elle.
" Chérie ! J'ai trouvé un ami à toi ! D'ailleurs, comment vous appelez vous, monsieur ?"
Constance mit ses mains sur le torse fort de l'homme, et l'embrassa langouresment.
"Mon amour." Lui murmurait elle a l'oreille, mais assez fort que je l'entende.
Quand je partais, elle reprenais sa lecture mais lui semblais vouloir faire quelque chose avec elle. En même temps, elle l'avait tant draguer qu'il devait avoir des espoirs compréhensible. Mais elle s'en fichais. Elle voulait juste m'embêter, pas flirter avec son mari.Pas réaliste non-plus... Dans ce sénario, elle serait une vraie garce.
L'angoisse me rendais fou. Enfin, c'est une expression hein ! Je ne redevenais pas vraiment fou !
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MOR Fanfiction - APRÈS SA MORT
FanfictionPour comprendre cette histoire, il faut connaître Mozart l'Opéra Rock (c'est une comédie musicale datant de 2009). Si vous ne connaissez pas, vous aurez un peu de mal à suivre. Après la mort de Wolfgang, Constante se retrouve seule, sans emploi, et...