MOR Fanfiction - APRÈS SA MORT

Vingtième chapitre :

*PDV Constance Weber-Salieri*

Le lendemain.

Antonio... Adieu. J'étais sur le parvis du pavillon. Je tenais Wolfi, dans son couffin, dans ma main droite (je suis droitière) et ma valise, dans la main gauche. Enfin, je portais un sac de voyage sur le dos.
Il faisait à peine jour. Il était sept heure. Je regardais la maison, une dernière fois, et partit.

*PDV Antonio Salieri*

Quand je me réveillais, le lendemain de ma tentative de suicide, je partit tout de suite chez Constance ('fin, dans sa chambre).
Personne. Des draps défais, mais personne.
Il était onze heures, j'avais dormis très longtemps !
Je m'inquiète pour ma femme. Si elle n'est pas la à midi, je lance des gens à sa recherche. Ma chérie... Mon amour... Reviens. Reviens !

*PDV Constance Weber-Salieri*

Quelques temps après.

J'étais chez Nannerl Mozart. Chez Coloredo. Ce salaud...
Nannerl va se marier avec son fils. Ce n'est pas une belle histoire d'amour, car même si le fils est très épris, Nannerl, elle, est seulement en manque d'argent. Elle joue la comédie.

Je suis dans le salon, chez eux, en train de parler avec Nann, quand un valet entre.

Un valet: Monsieur Salieri.

Un cube de glace  décendit dans ma gorge.
Il entre, somptueux.

Antonio : Sa fait une semaine.

Moi, je ne dis rien.

Lui: Une semaine Constance ! Une semaine que je te cherche partout !

Il cri. Nannerl s'interpose.

Nannerl : Monsieur, je vous pris de sortir immédiatement. Ou se sera par la force.

Moi: Non ! Nannerl, laisse nous.

Elle: Tu est sur ?

Moi: Oui.

Elle sort, elle et le valet, nous laissant seuls. Antonio s'assit près de moi.

Antonio : Constance...

Il penche la tête, me regarde... Il sésit mon visage entre ces mains, et m'embrasse. Je me débats, mais il sers trop fort. Ses lèvres dévore​ les miennes...

Antonio : Reviens, chérie.

Moi: Non ! Non !

Lui: tu moura à la rue, comme une putain !

Moi, choquée : Comment...

Lui: Oui, tu en sera une ! Tu moura prostituées, pour faire vivre ton enfant ! Moi, je suis riche. Je t'offre une vie !

Il était fou.