Trentième chapitre

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*PDV Antonio Salieri*

Elle m'aime ! Elle m'aime, elle m'aime, elle m'aime ! Je suis si heureux...
Quand nous nous écartions, je crachais encore un-peu de sang sur des draps qui en était déjà imbibé.

Constance : Je vais changer les draps.

Moi: Pas la peine, de toutes façons je les retacherais.

Elle me pris la mains très doucement et annonça que quand je serais mieux, nous partirons chez Nannerl lui annoncer que nous nous sommes remis ensemble.

Moi: Je ne sait pas si j'irais mieux un jour, Constance. Regarde-moi. J'ai l'air d'un homme de 60 ans blessé à la guerre.

Elle rit doucement: C'est faux, mon amour, et tu le sait.

Mon amour ? Me parlait-elle vraiment à moi? Il faut le croire, mais jamais encore elle ne m'avais appelé ainsi. Mais maintenant qu'elle connais la vérité, si elle m'aime encore après cela, je n'ai plus à m'en vouloir, non? Je peux vivre pleinement mon amour pour elle. Elle a fait son choix, elle me pardonne.

*PDV Constance Weber-Salieri*

Moi: Je vais faire envoyé un Télégramme à Nannerl, pour l'informer de ... Notre réconciliation.

Une fois cette tâche accomplis, je cherchais, dans l'armoire de ma chambre, des vêtements. Des robes, des sous-vêtements... Tout y est. Il y a même quelque nouvelle choses. Sur l'une de ces robes, il restait une étiquette, avec le prix... Je failli m'évanouir en le voyant. Mon dieu, c'était énorme ! Sur le lit, il y avait un petit paquet plat avec une petite bosse ronde dessus. Un morceau de papier était poser sur le paquet, et quelque mots, quelque lignes, quelque phrases était inscrite et dessus. Les voici :

Pour Constance,
Moi mort, tu sera riche.
Voilà mon testament, dans ce paquet,
Ainsi que la bague de fiançailles de ma mère,
Le plus beau et précieux bijoux que je possède.
Il est pour toi.
En espèrent, non pas que tu me pardonne, je sais que c'est peine perdu,
Mais que tu acceptera ces présent.
Je t'en conjure,
Accepte.

Antonio Salieri

Le cachet d'Antonio était aposé en bas du document, que moi seule lirais. Je ne le montrerais jamais. À personne et sous aucun prétexte.
Les mains tremblantes, les yeux plein de larmes, j'ouvris le paquet .
D'abord, il y avait la bague. Si belle. De l'or massif, et en sons centre, une pierre rouge comme le sang. Je la faisait tourner entre mes doigts quand je vis, graver à l'intérieur, l'inscription "Constance & Antonio". Je fut très touché, et les larmes débordèrent de mes yeux.

Puis, ce fut le tour du testament. Je le lu, et mes larmes débordèrent à nouveau. Il me légais tout, tout.
Je séchais mes larmes et rangeais ce fichu testament dans le double fond de mon coffre fort. Puis, la bague: je la passais à mon doigt.
Que n'a-t-il pas fait pour moi ? Et que lui es-je donner en échange ? Rien. Mon amour. C'est tout. C'est tout ce que j'ai à donner moi. Et je lui offre volontiers.

MOR Fanfiction - APRÈS SA MORTOù les histoires vivent. Découvrez maintenant