MOR Fanfiction - APRÈS SA MORT

Trente-et-unième chapitre:

*PDV Antonio Salieri*

Trois mois après.

Je suis guéri ! Enfin presque. Je suis encore très faible mais les médecins disent que je peux voyager. Attention, hein, pas à cheval, juste en voiture. Avec Constance, on va annoncer la bonne nouvelle à Nannerl. Si tant est qu'elle le prennent comme une bonne nouvelle ...
A, on est arrivé ! Nous descendons de la voiture. J'aide Constance à le faire. On est comme deux jeunes amoureux, on flirt un-peu. D'après Miss Leila, qu'on a surpris en pleine discussion "sur les people"(comme Constance, l'Empreur, ses enfants, et leurs histoires d'amour). Elles lisaient - avec Agathe, et Lisa, une cuisinière -, elles lisaient, donc, un magazine people : "Le Journal des Dames et des Modes" .

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Je précise, ça existait, à l'époque de l'impératrice Joséphine, première femme de Napoléon Bonaparte.
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Dedans, il y avait écrit un article que Leila leur lu:
Chère lectrice,
Vous avez peut-être suivie l'affaire Salieri (numéro 2 000).
Dernièrement, monsieur Salieri à tanter de se tué par pendaison. Sa femme Constance, madame Salieri, ex-femme du défunt monsieur Wolfgang Mozart, est parti de chez eux juste après.
Elle c'était marier avec Monsieur Antonio Salieri juste après la mort de son premier mari. Certaines de nos lectrices l'ont même qualifié de "gourgandine". Écoutons les: " Chères amies lectrices,
Je veux vous faire pars de mon indignement à la pensée que madame Salieri passe de musiciens en musiciens. De plus, son physique n'est pas avantageux, et elle les séduis tous ! Quel est son secret ? Comment a-t-elle ensorcelé notre Antoni d'amour ?

Mme. Claire de la Lettre

P.S: Antonio, je vous aime, venez me voir au treize rue Flachat."

Puis, elle est revenue, reparti ...
Et il y a peut, monsieur Salieri à tanter, de nouveau, de se tuer par pendaison.
Madame Salieri est revenu peut après. Depuis, ils ne se quitte plus.
Très attendrissant ! C'est du moins notre avis.

Bref, Miss Leila nous a qualifié de "très mignon petit couple".
Après, j'étais en mode "Je vais tuer cette garse !" (Claire de la Lettre)