MOR Fanfiction - APRÈS SA MORT

Quinzième chapitre

*PDV Antonio Salieri*

Il me le paira ! Ce sale domestique ! Je partirai moi-même le chercher, mais avant, je dois choisir se que je vais lui faire.
Je réfléchissais toujours lorsque je fus interrompu par une voix.

Voix : Antonio ?

Moi, me retournant : Constance !

Elle était remaquiller, rhabiller, et recouafer. Comment les femmes peuvent-elles faire tant de choses si vite ?

Constance : Antonio je vous en prie que contez-vous faire de lui ?

Moi, soupirant : Je ne sais pas.

Elle, s'approchant et posant ses mains sur mon torse :

Constance : Ne le tué pas je vous en supplie !

Moi: Pourquoi ?

Elle: Je... Je ne veux pas que vous deveniez un assassin par la faute de ce misérable !

Si elle savait... Si elle savait que je suis déjà un assassin, et celui de son ex-mari...

*PDV Constance Weber-Salieri*

J'avais adopter la méthode de drague d'Aloycia. Cela se réveillait efficasse.

Antonio, soupirant: Bon, très bien.

La vérité, c'est que je ne voulais pas que Jean soit tué par ma faute...  Et je ne voulais pas non-plus qu'Anty devienne un assassin par ma faute ... Je m'en veux. Jean va passer un sale quart d'heure.
Je repars dans ma chambre.

*PDV Antonio Salieri*

Rosenberg m'a invité, disons, à venir à son bureau cette après-midi.

Il est tard, à présent, mais j'y vais quand-même.

Quand j'arrive, il fait les cent pas dans son bureau.

Rosenberg : Ah Salieri c'est vous !

Moi: Oui c'est moi.

Lui: Je ne peut plus laisser passer ! D'abord vous vous marier à cette jeune femme, Constance, mais maintenant vous lui faites un enfant ! J'ai appris récemment que c'était la femme de Wolfgang Mozart, comment pouvez-vous...

Moi, énerver mais ne laissant rien parètre: C'est l'enfant de Mozart ! Mais cette femme avait besoin d'un toit et je me suis montré généreux.

Lui: Hum je comprends tout ! Insolant ! Vous êtes tombés amoureux de cette ... Créature...

Moi: Je ne vous permet pas !

Lui, au public : Oh mais comment faire il a été ensorcelé par cette maudite Constance Weber-Salieri. Pfff... Quel nom pathétique !

Moi: Que dîtes vous là ?

Lui: Oh rien Salieri...

Moi : Vous mentez !

Lui, faignant de regarder sa montre : Mmmm... Oh mon dieu ! Salieri faut que je file j'ai promis à Sofia qu'on passerait le repas ensemble !

Il pars. Moi aussi. Je rentre.
J'ai pris ma décision : Je vais m'occuper de Jean, et lui passerai l'envie de refaire une telle bêtise...

*PDV Constance Weber-Salieri*

J'entends des cris de douleur. Ahhh ! Je me bouche les oreilles, me tordant sur mon lit à chaque cris. J'ai l'impression que c'est moi qu'on frappe. Salieri est en train de s'occuper de Jean.
J'entends des plaintes, des gémissements, des cris. Je pleure, je souffre...
Je pousse un grand cris.
Je m'évanouis. Oui, j'ai les nerfs fragile.