My Monster Partner

Jeu dangereux

A peine quelques secondes plus tard ses sourcils se froncèrent et son regard s'emplit d'inquiétude.

Qu'est-ce qu'il peut bien y avoir de noté sur cette lettre ?
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- Tiens Jongin tu tombes bien ! S'exclama Joon Myun qui venait de nous voir entrer
- Mais ... pourquoi vous arrivez en même temps ?

Je regardai Joon Myun pendant quelques secondes sans rien dire, puis affichai finalement un sourire railleur.

- Bref il y a un problème Joon Myun ? Demanda Jongin
- Ouais il y a ton pote qui est là.
- Ah c'est normal ne t'inquiètes pas, dit Jongin avant de s'en aller vers le poste de police
- Toi, tu as fait quoi ?
- Rien rien.
- Kyungsoo.
- On va rejoindre Jongin ? Dis-je en passant devant lui
- T'es sérieux Kyungsoo ? Et en plus pourquoi il est venu l'autre ? Yaaah ne m'ignore pas ! Yaaaah !

Je me sens pas pas d'humeur à l'entendre piailler, je suis fatigué et je n'aime pas ça. Il a dû me prendre beaucoup de sang l'autre con.

Je venais de franchir la porte de mon bureau. Jongin était assis de manière assez sexy sur mon bureau, en train de rire et de se toucher les cheveux. Un frisson parcourut tout mon corps, j'ai envie de le sauter.

- Tu m'excuseras, mais retire ton cul de mon bureau.
- Non.

Je pris une feuille qui se trouvait dans le tiroir de mon bureau et la donnai à Yi Xing.

- Qu'est-ce que c'est ?
- Un contrat, on ne s'occupe pas des affaires de la police aussi facilement.
- Attends, c'est lui qui va s'occuper de décoder les messages ? S'exclama Joon Myun qui venait de débarquer dans la pièce
- Oui.
- Tu as demandé à M.Kim ?
- Oui.
- Tu mens.
- Oui.
- Putain Kyungsoo.
- Joon Myun amène le dans une salle, donne lui les codes et va chercher quelqu'un pour le surveiller.

Il souffla et fit signe à Yi Xing de le suivre. Celui ci sourit et le suivit sans broncher.

- Bon, toi, lève ton cul tout de suite.
- Noon, dit-il en s'allongeant sur la table
- Tu as décidé de me faire chier aujourd'hui ?
- Oui, tu es très perspicace.

Je roulai des yeux et pris sa cheville pour tirer son corps hors de mon bureau. Celui ci s'accrocha fermement sur les côtés et ne bougea pas d'un millimètre. J'entendis un ricanement, et il se fout de ma gueule en plus ...

Je pris le dossier sur notre affaire et m'assis sur le bas du ventre de Jongin. Je sentis sa respiration se couper légèrement et me décalai donc vers son entre jambe.

- Kyungsoo casse toi.
- Nique ta race.
- Pardon ?
- Chuuut, dis-je en posant mon doigt sur ses lèvres

Il essaya de se redresser mais je le poussai pour qu'il reste allongé. Il à voulu m'affronter, il va voir qu'il n'aurait pas dû. Je mis plus de poids sur mes fesses pour appuyer sur sa zone sensible. Il sursauta à moitié et commença à se débattre pour me faire partir. Malheureusement pour lui plus il bougeait plus moi je ne bougeais. Je posai ma main sur sa cuisse pour me tenir, ce qui le fit frissonner. C'était assez gênant de bouger mes fesses contre son entre jambes mais je trouvais ça très drôle de le voir se retenir de gémir. Sa main se trouvait devant son visage, la respiration haletante. Un petit gémissement sortit de la bouche de Jongin, je me laissai prendre a mon propre jeu, le voir comme ça m'excitait totalement. Je posai le dossier et passai mes jambes autour de son bassin, je m'assis sur lui et posai mes mains sur le bas de son ventre. Celles-ci glissèrent en dessous de sa chemise, Jongin n'avait pas retiré sa main de son visage, et n'avait pas l'air contre le fait que je le touche. Je dois avouer que je ne contrôlais plus grand chose de mon côté, je n'avais qu'une envie: le faire avec lui, maintenant. Je collai mon corps contre le sien et approchai ma bouche de son cou, j'embrassai celui ci et le mordis par pure vengeance personnelle. Jongin passa une de ses mains sur ma nuque et y enfonca faiblement ses ongles au moment où je mordais son cou. Je relevai ma tête et retirai la main qui cachait le visage de Jongin. J'encrai mon regard dans le sien et approchai mes lèvres des siennes, je voulais simplement les bouffer. J'étais à quelques centimètres de l'embrasser quand soudain quelqu'un ouvrit violemment la porte.