« La première fois, c'est un hasard, la deuxième fois une coincidence, la troisième fois c'est une preuve ou le destin peu importe comment vous voulez le voir.
Mais une coincidence ça n'existe pas, il n'y a donc pas de deuxième fois, on passe donc directement à la troisième. »
Zoé. Cette personne chiante et hautaine, se prenant pour la reine de mon école primaire.
Elle traumatisait les nouvelles en allant raconter aux professeurs : tous ce qu'elle entendait à propos de nous, de nos secrets où des que l'on faisait des bêtises. Mais des fois, elle était clémente envers nous, soit elle allait les raconter aux adultes ou soit elle nous faisait du chantage.
De plus, elle nous volait nos goûter.
Elle nous amadoué pour ensuite nous jetées comme des vielles chaussettes puantes.
Zoé était la pire des pestes et même à son âge, elle était déjà manipulatrice et hypocrite.Et je venais de lui foncée dedans. La pire erreur que je puisse faire...
- Bordel ! Qui à oser me foncer dedans ? Que je lui fasse vivre sa pire année de sa vie... Dit-elle complètement enragé.
- C'est bon je suis désoler pas besoin de faire ta peste. Lui répondis-je aussi hors de moi qu'elle.
- T'es qui toi ? Je te connais pas ! Et tu ne me connais pas ! Dit-elle folle de rage que quelqu'un ne lui obéisse pas aux doigts et à l'il. Qu'on ne la traite pas comme il se doit, comme une Reine qu'elle n'est pas.
Et elle ose me dire que je ne la connais pas !
Si tu savais, pensais-je.- Si c'est bon, je te reconnais, tu es la nouvelle qui à réussis toute les épreuves. Je me souviens de toi. Tu faisais ta maligne et ta surdouée mais ça ne marche pas avec moi. Fais gaffe ce n'est pas parce que tu as tous réussis que tu surpasses tout le monde. Reprit-elle.
Apparemment, elle n'avait pas changée niveau caractère et heureusement elle ne m'avait pas reconnu mais quand elle entendrait mon nom et mon prénom ça lui reviendra... Et là Adieu Sarah. Elle refera de ma vie, un enfer. Mais cette fois ci, je ne la laisserai pas faire. Je suis plus forte à présent et je ne compte pas me laisser faire. Maintenant, j'ai compris son petit manège...
- Zoé, tu viens ? On va manger ! Cria une voix qui m'est inconnue.
- Oui, j'arrive Maddie. Juste le temps de dire une petite menace à une pourriture et j'arrive. Dit-elle en parlant de moi je suppose. Bon rajouta-t-elle en se tournant vers moi. Si tu ne joue pas ton rôle de "Serviteur" correctement... continua t-elle.
- Quoi quelle rôle de "serviteur", il n'est pas question que je te serve, que je t'obéisse. T'es entrain de rêver, pimpêche ! Lui sortis-je en accentuant bien le dernier mot. Tu vas vite partir, si tu ne veux pas que je t'humilie, devant tout le monde. La menaçais-je. En voyant que je ne plaisantais pas et que ça allais forcément lui attiré des ennuis. Elle partit en remuant bien ses fesses pour que ses cheveux se balance ... Pathétique.
Ne savant pas ou se trouvais la cantine, je décidai dans un premier temps de demander à quelqu'un dans le couloir, mais comme elle et sa copine allaient vers la cantine, enfin je pense puisque Maddie avait dis qu'elles allaient mangés, je les suivais tout en faisant croire que je savais où j'allais. Mon plan ne fonctionna pas vraiment puisque Luc arrivait de l'autre coté et me souris comme si il disait "tu t'es encore perdue" oui bon c'est vrai que je me suis pommé mais c'est pas la mort.
- Tu viens, la cantine est par là. me dit-il alors en pointant son doigt derrière moi, de là où je venais, je piquais un fard en voyant que j'avais fais tout le chemin inverse. Et moi qui pensais que j'allais dans la bonne direction...
Mais où allais donc Maddie et Zoé ? Une question pour l'instant sans réponse. On avança quelques instants plus tard en faisant le chemin inverse de celui que j'avais fais quelques minutes plus tôt.Tout le monde nous regardais passer. Mais arriver à la cantine, ce fût encore pire, car des que nous posâmes un pied dans cette salle, tout le monde arrêta de parler, pour se retourner et nous regarder. Quand j'étais au centre de l'attention, je piquais des fards et c'est ce qui ce passa maintenant. Si bien que Luc souris et dis :
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HYBRIDE
ParanormalDes cris, la peur mais toujours la main chaude et rassurante de celle que je pense être ma mère. Elle m'enferme dans un placard et avant de fermer a clé, elle rouvre la porte me donne un bisous sur le front. Et me répète : - Tout va bien se passer...