Louis, 22 ans, se fait voler le rôle qu'il convoitait dans une pièce de théâtre. Le dit voleur se fait une place dans sa vie, et pousse tout ce qu'il pensait acquis à se révéler finalement sous son vrai jour. Le jeune homme plonge alors dans le doux...
Ce chapitre est un repost parce que je l'ai énormément modifié, par là je veux dire que j'ai supprimé le lemon et amélioré son contenu pour tenter de rendre plus crédible l'issus de la dispute de Larry, ça me tenait à cœur depuis un moment de le modifier parce que je sais que cette fin a confus plusieurs personnes et puis avec le recule certaines choses méritaient d'être placé différemment. xX
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Il jeta un regard nerveux à l'heure sur le tableau de bord de la voiture de Zayn. Quinze heure trente. Le train de Harry quittait la gare de Sheffield dans un peu plus d'une demi-heure. "Hé Louis... on peut-"
"Non, non. Je peux y arriver je dois juste me calmer un peu. C'est bon." Ils devaient quitter le parking de l'hôpital le plus rapidement possible pour espérer attraper le bouclé sur le quais, mais il y avait des complications. Le fait était que le destin avait apparemment décidé que Louis n'était pas assez traumatisé comme cela, et quand le moteur avait commencé à tourner, il avait tout de suite paniqué. C'était à peine si il n'était pas en train de faire une crise de panique. Il tremblait sur le fauteuil et chaque fois que Zayn cherchait à démarrer, alors il gémissait de terreur. "Si je pars à pieds je ne serais jamais à la gare à temps. Alors démarre."
"Louis..."
"Aller !" Insista-t-il en se tournant vers lui. Zayn sursauta et poussa un soupir en attrapant son volant, le moteur gronda plus fort et Louis geint derrière ses lèvres quand il démarra. Ils roulèrent à peine cinq mètres avant que Zayn ne s'arrête en le regardant. Louis était en train de retenir son souffle en serrant ses doigts sur les poignées de porte.
"Louis non. Je refuse. Putain. Je refuse de faire ça, t'es terrifié." Il frappa son volant en mordant dans sa lèvre. "Bébé, me force pas à faire ça, je veux pas te voir mal."
"Zayn, je serais jamais à la gare à pieds !" S'exclama Louis en retour, sentant déjà qu'il commençait à perdre son sang froid, qu'il allait craquer et lâchait ses nerfs, sûrement... pleurer. Il le sentait. "Je peux pas le laisser partir sans lui avoir parlé... je peux pas le perdre Zayn." Râla-t-il en plongeant son visage dans ses mains ensuite, geignant de peine derrière ses lèvres serré. Zayn soupira avec lourdeur en observant droit devant lui.
"Je sais oui." Louis se redressa soudainement pour se tourner vers lui, et ça lui brisa le cœur de le voir ainsi. Son meilleur ami observait la route, sa lèvre passé entre ses dents, ses yeux étaient triste, il le voyait d'ici.
"Excuse moi." Marmonna-t-il. "Je suis désolé, je devrais pas te parler de ça..." Zayn secoua sa tête et prit une profonde inspiration avant de se tourner vers lui, ses lèvres pincés dans une grimace de résignation.
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