Cœur de jumeaux

Cœur de jumeaux: Chapitre XIV.

Après cette journée de rentrée pour nos jumeaux et Suiko, c'est au calme que la soirée se déroule. Tout du moins pour Nakaji et Naminatsu car on ne peut pas en dire autant au sujet des deux frères.
En effet, la cravate accrochée à leur poignée de porte indique bien qu'ils sont occupés et qu'il ne vaut mieux pas les déranger...
Masaku –HAH ! KUSA ! _Lui griffant le dos tout en serrant ses jambes qui y sont croisées._
Kusano –HMAH ! _Allant et venant en Masaku, commençant à lui donner des coups de reins._
Masaku –HA ! OUI !!! PLUS FORT !

Kusano répondit aux demandes de son frère, lui donnant alors de plus puissant coups de reins. Gémissant donc ensemble avant de se mettre à crier de plaisir, ce jusqu'à ce qu'ils jouissent, finissant par rester l'un dans les bras de l'autre à ses câliner.
Masaku -_La tête sur le torse de Kusano à laisser glisser ses doigts dessus._ À quoi tu penses ?
Kusano -_Jouant avec les cheveux de Masaku._ Hm, à rien. Pourquoi ?
Masaku –Menteur, je sens bien que quelque chose te travail.
Kusano –Mais non, il n'y a rien.
Masaku -_Soupirant._ Tu peux faire croire ça à d'autre mais tu sais pourtant très bien qu'avec moi ça ne marchera jamais, nous sommes jumeaux je te rappel, je lis en toi comme dans un livre ouvert tout comme toi tu peux lire en moi. _Redressant la tête._ C'est le nouveau, c'est ça ? Ou plutôt le fait que Satose s'en occupe hein ?
Kusano –Tu ne trouve pas ça bizarre toi ?
Masaku –Ils se connaissent peut-être depuis un moment.
Kusano –Justement, il y a rien qui te choque ?
Masaku –Euh non... Toi, oui ?
Kusano –Il y a un élève qui devait arriver mais qui ne donnait pas de nouvelles, plus ou moins en même temps Satose à dû se rendre d'urgence à l'hôpital et on l'a plus vu. Là, il revient depuis quelques temps et aujourd'hui il débarque avec un nouvel élève qui à l'air d'avoir vécu quelque chose qui lui fait avoir peur du monde...
Masaku –Dis donc, c'est quoi toute cette synthèse ?
Kusano –Je pense que la personne que Satose a été voir à l'hôpital c'est le nouveau. Et puis, je sais pas, c'est bizarre... Ça te dis rien toi Suiko ?
Masaku –Maintenant que tu me poses la question, c'est vrai qu'il me semble avoir déjà entendu ce nom mais je ne vois pas du tout où...

Tandis qu'ils réfléchissent à toute cette histoire, chez Satose ça discute d'autre chose... Suiko n'arrête pas de parler depuis qu'ils ont quitté l'école, peut-être pour rattraper le fait qu'il n'a pas beaucoup parlé de la journée, qui sait. En tout cas, ça occupe leur soirée et le voir ainsi rassure plutôt Satose qui était mine de rien assez inquiet depuis la réaction qu'il avait eu quand il s'est retrouvé entouré, il en avait même pensé que s'était peut-être finalement trop tôt mais apparemment non, bien qu'il lui faudra sûrement un peu de temps pour s'y habituer quand même.
Suiko –Ils ont vraiment tous l'air sympa n'empêche ! Même si... Ça m'a fait un peu peur quand ils m'ont tous entouré comme ça... Je sais qu'il sont pas fait ça méchamment au contraire, ils ont juste voulu m'accueillir gentiment... Ma réaction a pas été très sympa envers eux par contre... _Baissant la tête plutôt honteux._
Satose –Ne t'en fais pas, tu sais comme tu viens d'arriver ils ont dû se dire que tu devais être perdu, tu as fait un sacré pat en avant en allant en cours. Maintenant laisses-toi un peu le temps de t'y habituer, puis n'oublies pas que je suis avec toi de toute façon, je ne te laisserai pas seul.
Suiko -_Relevant la tête._ Sans toi je crois que je n'aurais jamais su y retourner.
Satose –Je suis là, alors n'y penses pas.
Suiko –Tu as raison, ça sert à rien.
Satose –En tout cas, ça fait plaisir de voir que tu comptes continuer de suivre les cours. Je t'avoues que je craignais un peu qu'une fois sur place tu te sentes trop mal et que tu décides de faire marche arrière.
Suiko –C'est vrai que j'ai eu peur mais ce n'est pas pour ça que je vais reculer, surtout maintenant que le pat le plus difficile est fait !
Satose –Quelle détermination ! _Riant._
Suiko –Oui !! _Riant avec lui._
Satose –Il est encore tôt pour manger, tu veux faire quoi ?
Suiko –Hm... En fait j'aurais besoin que tu me réexplique quelque chose que je n'ai pas réussi à comprendre en cours.
Satose –D'accord, pas de problème, dis-moi qu'est-ce que tu n'as pas compris ?

Comme il le lui a demandé, Satose lui expliqua alors ce qu'il n'avait pas compris, jusqu'à ce qu'ils décident de tout de même manger après quoi ils se détendirent en regardant la télé pour finir par aller se coucher afin d'être en forme pour le lendemain.

Les jumeaux quant à eux ont terminé de... Discuter et on rejoind leur mère afin de manger avec elle, passant la soirée en famille. Ils remontèrent une fois qu'elle partit se coucher, se retrouvant à nouveau seuls dans leur chambre, faisant leur devoir cette fois bien que cela ne leur prit pas longtemps.
Masaku -_Venant derrière Kusano, passant ses bras devant lui._ Tu as fini ?
Kusano –Oui, toi aussi ? _Appuyant sa tête contre son torse._
Masaku –Oui. _Le faisant tourner avec sa chaise de bureau pour le mettre face à lui, venant s'asseoir sur ses jambes en mettant ses bras autour de son cou._ Tu y penses toujours, cette histoire te préoccupe vraiment, hm ?
Kusano -_Glissant ses mains dans son dos, les arrêtant au niveau de ses fesses._ Pas toi ?
Masaku –Hmm... Non pas tout de suite... _Se serrant contre lui._ Moi là, j'ai tout autre chose en tête...
Kusano -_Riant._ Gourmand va. _Embrassant Masaku à pleine bouche tout en lui caressant les fesses._
Masaku –À qui la faute ? Quand on fait goûter quelque chose de bon, il faut s'attendre à réveiller la gourmandise et du coup à ce que ce soit réclamé huhum. _Lui léchant le cou._
Kusano –Hm... Haha je vois... _Frissonnant._ Alors tu en veux encore maintenant c'est ça ?
Masaku –Oh oui, encore plus hm... _Déboutonnant sa chemise comme pour inviter Kusano avant de lui déboutonner la sienne et de se coller à lui._
Kusano –Petit excité. _Riant tout en lui défaisant son pantalon._
Masaku –Humph, tu peux parler tiens. _Lui ayant défait le sien, y ayant glissé sa main._ Tu te doutais de ce qu'on allait fait, t'as pas mis de boxer en te rhabillant. _Ayant saisi son membre, bougeant la main._
Kusano –Hmm... Je peux dire pareil à ton sujet. _Bougeant lui aussi sa main, y tenant le membre de son frère._
Masaku –Oses dire que ça ne te plaît pas hmm...
Kusano –Au contraire, j'adore ça !

Sans prévenir il se leva en tenant bien Masaku par les fesses, le retournant sur le bureau dos à lui, son torse étant donc sur le pauvre meuble qui sera une fois de plus victime de leurs ébats. Kusano ne perdant pas une seconde avant de baisser le pantalon de son frère pour le prendre ensuite d'un coup sec, lui arrachant un cri de surprise avant qu'il ne se mette à gémir au rythme des vas et viens qu'il a entamé en lui.
Il ne fallut pas longtemps avant qu'il ne le réclame encore plus fort, lui disant de ne pas s'arrêter, que c'est bon. S'accrochant au bureau il ne retenait pas ses cris qui ont à présent totalement remplacés ses gémissements, ceux-ci étant accompagnés des grincements rythmés du meuble en bois qui cogne par moment contre le mur lors de cooups plus forts que les autres.

Ils continuèrent de s'unir sur le bureau, Masaku s'y retrouvant assis et même couché sur le dos, son frère lui en donnant autant qu'il lui en demande, jouissant au point de salir le pauvre meuble qui n'est pourtant pas conçu pour ce genre d'activité à la base...
Masaku -_ À moitié allongé sur le bureau._ Hmmaah que c'était bon !
Kusano –Hnm ou... _Le fixant puis change de tête._
Masaku –Hm ? Qu'est-ce qu'il y a ?
Kusano –Mon devoir... Où est-ce qu'il ?
Masaku –Ah euh... Tu venais de le finir n... _Réalisant où il se trouve._
Kusano –C'est pas vrai ?! Mon devooooir !
Masaku –T'as plus qu'à le recommencer. _Se levant._ Moi, je vais me coucher, je suis vi-dé.
Kusano –Quooooi ?! Tu m'aides pas ?!
Masaku –C'est ton devoir et puis c'est toi qui m'as plaqué sur le bureau sans l'avoir retiré de là.
Kusano –Espèce de...
Masaku –Bonne nuit mon frère adoré.

Lui souriant, il se coucha tandis que Kusano râlait en se mettant à nettoyer pour ensuite recommencer son devoir, y passant une bonne heure bien qu'il n'avait juste qu'à recopier sur celui qui a été sali par leurs ébats.